diumenge, 31 d’octubre del 2010
MANIFESTACIÓ A MADRID DISSABTE 13 de Novembre a les 12:00h ¡¡¡MARRUECOS FUERA DEL SAHARA! 35 AÑOS DE OCUPACIÓN ¡BASTA YA!
Davant dels últims aconteixements i la dramàtica situació que s'està vivint, "l'enrocament" del regne alauita i les estupideses successives del nostre Govern i Ministeri d'Afers Exteriors, així com la creixent demanda social i política del moment que exigeix una gran mobilització, us estem convocant per fer un titànic esforç per manifestar-nos a Madrid el proper dissabte dia 13 de Novembre, a les 12:00 hores. Aquesta manifestació, convocada per la Coordinadora Estatal de Asociaciones de Amistad y Solidaridad con el Pueblo Saharaui (CEAS - Sáhara) i la Plataforma cívica pro-referendum en el Sáhara pretén unir en una sola i contundent veu a la gran majoria de ciutadans/es de tot l'Estat per denunciar la gestió del Govern en aquest assumpte i exigir una solució definitiva.
Per això, des de l'ACAPS volem facilitar el desplaçament a Madrid i oferim la possibilitat d'anar-hi en autocars.
- És indispensable inscriure's prèviament a acaps@acaps.cat o trucant al 670.85.47.33 o 93.305.52.06 (de dilluns a divendres de 16 a 19 hores). El termini per la inscripció es tancarà el proper dia 5 de novembre.
- És indispensable inscriure's prèviament a acaps@acaps.cat o trucant al 670.85.47.33 o 93.305.52.06 (de dilluns a divendres de 16 a 19 hores). El termini per la inscripció es tancarà el proper dia 5 de novembre.
- El preu del viatge serà finalment de 10€ per facilitar el desplaçament a les persones amb dificultats econòmiques. A ingressar al número de compte: 2041-0092-06–0040007200 (Caixa Manresa). No us descuideu d'especificar el vostre nom en fer el pagament, i recordeu de portar el resguard de l'ingrès el dia de sortida de l'autocar.
- Les dades necessàries per a la inscripció són: NOM i COGNOMS, telèfon i municipi de residència de cada persona.
- La sortida serà des de Plaça de Sants el proper divendres dia 12 a les 23'30h. aproximadament. Us mantindrem informats.
- La tornada des de Madrid serà a les 16:00 del dia 13, i ja informarem del lloc exacte més endavant.
Tots a Madrid!!!
UNA CONCENTRACIÓ MULTITUDINÀRIA!
Gràcies per la vostra col·laboració!
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NECESIDAD URGENTE DE MEDICAMENTOS
Fuente: www.saharathawra.com
649 170 302
649 170 302
Les sahraouis assiégés
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dimecres, 27 d’octubre del 2010
El Sáhara Occidental no es Marruecos.
En la página 16 del folleto de Iberojet Otoño - Invierno 2010/11 Marruecos, aparece un mapa donde el Sáhara Occidental y su capital El Aaiún, están incluidos en el mapa de Marruecos.
Hay que enviar oleada de e-mails pidiendo su rectificación.
Enviar a:
Texto:
Sres. de Iberojet.
En la página 16 de su folleto de Otoño - Invierno 2010/11 sobre Marruecos, yo como cliente, me encuentro con la desagradable sorpresa de un mapa que incluye el Sahara Occidental y su capital El Aaiún (Laâyoune) como parte de Marruecos.
La publicación de ese mapa es muy grave, ya que el mapa que Uds. presentan es ilegal, con lo que incurren en el error de no respetar la legalidad internacional, desinforman a los visitantes y ofenden a muchas personas.
Ese mapa es ilegal, porque ni Naciones Unidas ni NINGÚN Estado han reconocido la anexión del Sahara Occidental por Marruecos. De hecho en estos momentos la ONU esta intentando llevar a cabo una ronda de negociaciones entre marroquíes y saharauis, y así terminar con el conflicto que les enfrenta desde que Marruecos ocupara ilegalmente después de que los españoles se retiraran en 1975.
Según da a entender su mapa que Marruecos llega hasta Mauritania, lo que es totalmente falso, esto demuestra un gran desconocimiento (lo que resulta increíble, teniendo en cuenta que se trata de un Mayorista de Viajes), a no ser que tengan interés por apoyar esta ocupación militar que dura ya 35 años.
Les invitamos a que corrijan, lo más pronto posible, un mapa que engaña a los visitantes y ofende a un pueblo dividido, la mitad de este viviendo en unos Campamentos de Refugiados situados en las cercanías de la ciudad Argelina de Tindouf.
Pedimos lo sustituyan por otro respetuoso con la legalidad internacional y con la realidad.
Atentamente.
Tú nombre.
Ciudad.
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dimarts, 26 d’octubre del 2010
Un autre massacre Contre les sahraouis qui se sont déplacées dans un camp à Smara / Sahara Occidental
Un autre massacre Contre les sahraouis qui se sont déplacées dans un camp à Smara / Sahara Occidental
En vertu de la dotation nationale qui se tiendra dans les territoires occupés ces jours-ci, qui se traduit sous la forme de la résistance civile,et qui se caractérise dans une exode collectif comme terme d’expression de rejet du peuple sahraoui à l'occupation et sa politique d’appauvrissement, de la famine, et du pillage des ressources naturelles de la région, ainsi que son hyperbole par des centaines de milliers de colons marocains.
En vertu de la dotation nationale qui se tiendra dans les territoires occupés ces jours-ci, qui se traduit sous la forme de la résistance civile,et qui se caractérise dans une exode collectif comme terme d’expression de rejet du peuple sahraoui à l'occupation et sa politique d’appauvrissement, de la famine, et du pillage des ressources naturelles de la région, ainsi que son hyperbole par des centaines de milliers de colons marocains.
Dans le cadre de ce nouveau visage de résistance, la ville de Smara elle aussi a voulait posée sa signature ainsi que les autres villes occupées malgré la destruction des premiers camps qui ont étaient déposées depuis le début de ce mois dans la région de Oued Saguia et dans la région de Al Guayez malgré la répression et le siège et d'encerclement, qui est étrangler la ville, où depuis la nuit dernière des dizaines de Sahraouis ont rejoignaient la vallée de Al Guayez à l'est de la ville, où il a été mis en place plus d’une trentaine de tentes, avec la participation d’une centaine de personnes, principalement des femmes.
Vers onze heures du matin Aujourd'hui, les forces sécuritaire marocaine consistant de l'Armée, de la Gendarmerie royale, et les forces auxiliaires, avec une assistance soutenue par de nombreux mécanismes et les camions à entourer la ville, ainsi que le camp pour arrêter la progression de l'afflux des Sahraouis afin de ne pas rejoindre le camp, avant d'intervenir violemment et avec usage excessif de force contre les Sahraouis isolés, où ils ont faire un assaut sur le camp au complet et l'abus de toutes les personnes déplacées avec une extrême brutalité, le faite qui a laisser de nombreux blessures de gravité variable.
Et voila une liste préliminaire des victimes :
Les blessures :
1. Fatimatou Ment Salma Benaila : a été transféré à l'hôpital dans un état grave.
2. Hasina ment Bandare Ould El Hadj: «enceinte» elle a été évanouit.
3. Daida Abdel-Salam: une blessure grave au niveau de la tête et le dos avec une fracture au niveau de la main gauche.
4. Ragueb Alhjoji: blessures graves au niveau de la tête, dos, épaules et les cuisses.
5. Labidi Albohan: blessures graves au niveau de la tête.
6. Farahni Omar: une blessure grave au niveau du dos et les pieds et les épaules.
7. Lahcen Bouhanana: des blessures graves au niveau du dos et la main.
8. Khira ment Sailki uld Fadli.
9. Iman ment Hussein uld rahel hanini.
10. Tawfa ment cheikh uld ali.
11. Zarga ment khatri uld bjaija.
12. Rlaila ment hasni.
13. Moussaoui Fatima.
14. Lwaila ment hasni avec son bébé âgé de quatre mois.
15. Menina ment khatri oould dardori.
1. Fatimatou Ment Salma Benaila : a été transféré à l'hôpital dans un état grave.
2. Hasina ment Bandare Ould El Hadj: «enceinte» elle a été évanouit.
3. Daida Abdel-Salam: une blessure grave au niveau de la tête et le dos avec une fracture au niveau de la main gauche.
4. Ragueb Alhjoji: blessures graves au niveau de la tête, dos, épaules et les cuisses.
5. Labidi Albohan: blessures graves au niveau de la tête.
6. Farahni Omar: une blessure grave au niveau du dos et les pieds et les épaules.
7. Lahcen Bouhanana: des blessures graves au niveau du dos et la main.
8. Khira ment Sailki uld Fadli.
9. Iman ment Hussein uld rahel hanini.
10. Tawfa ment cheikh uld ali.
11. Zarga ment khatri uld bjaija.
12. Rlaila ment hasni.
13. Moussaoui Fatima.
14. Lwaila ment hasni avec son bébé âgé de quatre mois.
15. Menina ment khatri oould dardori.
16. Aziza ment Khatir uld al-Bashir.
17. Fatma Ment Amaelid uld al-Hussein.
18. Fatma ment hellou.
19. Rguibi Fatima.
20. Matou ment Mohamed Mansour.
21. Fatma Mohamed Ould Amar.
22. Rlaigilhoum ment khatri.
23. Oum Fadli Ment Mohamed.
24. Mbarka ment Houssein Ould biri.
25. Rguiya ment lebsir.
26. Lmehdiya ment Abdallahi Ould Sidi.
27. Labidi Siluki: blessé au niveau de l'épaule, la main et le dos.
28. Amin Ali nafaa: blessé au niveau de la main et des épaules.
29. Dadi Mahmoud Hmada.
30. Othman tnakha.
31. Saleh Belkawri.
32. Ismaili ayoub.
33. Ismaili Abdi.
34. Jamal bouhela.
35. Zoram lwali.
36. Babbitt omar.
37. Zafri Moulay Ahmed.
38. Boubacar lehcen.
39. Labidi Amidan.
40. Mohamed baihi.
41. Afif Abdel Mawla.
42. Ahmed Ould Abdallah lebsir.
43. Dah hmeda.
44. Kazaz Habib.
45. Mohamed Mahmoud hmeda.
46. Bouhali Labidi.
47. Hidan Aziz.
48. Hammadi Alkaihal.
49. Balah Bhaha.
50. Rguibi Ali.
51. Ghali Boujaa.
52. Mahdi Moussa.
53. Bashir Babouzaid.
54. Sidi Ahmed bala.
17. Fatma Ment Amaelid uld al-Hussein.
18. Fatma ment hellou.
19. Rguibi Fatima.
20. Matou ment Mohamed Mansour.
21. Fatma Mohamed Ould Amar.
22. Rlaigilhoum ment khatri.
23. Oum Fadli Ment Mohamed.
24. Mbarka ment Houssein Ould biri.
25. Rguiya ment lebsir.
26. Lmehdiya ment Abdallahi Ould Sidi.
27. Labidi Siluki: blessé au niveau de l'épaule, la main et le dos.
28. Amin Ali nafaa: blessé au niveau de la main et des épaules.
29. Dadi Mahmoud Hmada.
30. Othman tnakha.
31. Saleh Belkawri.
32. Ismaili ayoub.
33. Ismaili Abdi.
34. Jamal bouhela.
35. Zoram lwali.
36. Babbitt omar.
37. Zafri Moulay Ahmed.
38. Boubacar lehcen.
39. Labidi Amidan.
40. Mohamed baihi.
41. Afif Abdel Mawla.
42. Ahmed Ould Abdallah lebsir.
43. Dah hmeda.
44. Kazaz Habib.
45. Mohamed Mahmoud hmeda.
46. Bouhali Labidi.
47. Hidan Aziz.
48. Hammadi Alkaihal.
49. Balah Bhaha.
50. Rguibi Ali.
51. Ghali Boujaa.
52. Mahdi Moussa.
53. Bashir Babouzaid.
54. Sidi Ahmed bala.
La majorité des gens sont encore perdus dans les différentes voies de la banlieue de la ville après avoir été empêchés de retourner à la ville par le ciblage systématique et l’encerclement qui lui sont imposées.
le saccagement des maisons:
- La maison de la famille de Mohamed Lamine Ould Boujemaa situé dans le quartier du Hay Essalam et la confiscation de plusieurs tentes, ainsi que le vol et le pillage des biens de la propriété et la falsification.
Le siège sécuritaire et l'encerclement des domiciles des militants:
-Domicile de l’activiste des droits humains et prisonnier d'opinion Ahmed Naasiri.
-Domicile de l’activiste des droits humains Salek Batal.
-Domicile de l’activiste des droits de l'homme militant Soukayna Jeddahlou.
-Domicile de l’activiste des droits de l'homme Nguiya Boukhers qui ont été arrêté par deux voitures appartenant à la brigade d’intervention rapide après sa visite a une victime d'intervention de la sécurité Mme.Fatimatou ment Salma Benaila à l'hôpital de Smara.
La situation générale dans la ville:
le saccagement des maisons:
- La maison de la famille de Mohamed Lamine Ould Boujemaa situé dans le quartier du Hay Essalam et la confiscation de plusieurs tentes, ainsi que le vol et le pillage des biens de la propriété et la falsification.
Le siège sécuritaire et l'encerclement des domiciles des militants:
-Domicile de l’activiste des droits humains et prisonnier d'opinion Ahmed Naasiri.
-Domicile de l’activiste des droits humains Salek Batal.
-Domicile de l’activiste des droits de l'homme militant Soukayna Jeddahlou.
-Domicile de l’activiste des droits de l'homme Nguiya Boukhers qui ont été arrêté par deux voitures appartenant à la brigade d’intervention rapide après sa visite a une victime d'intervention de la sécurité Mme.Fatimatou ment Salma Benaila à l'hôpital de Smara.
La situation générale dans la ville:
La ville et sous un haut siège sécuritaire des forces militaires marocaine, ou les différentes entrées et sorties de la ville ont été bloquées par les différentes fractions sécuritaire telles que: l'armé, la Gendarmerie Royale, la gendarmerie militaire, les forces auxiliaires, et la police avec l'installation de postes de contrôle policières et militaires qui entourent la ville, plus les hélicoptères qui survolaient, les patrouilles de l'armée dans les banlieues de la ville et qui cible les sahraouis dans le désert dirigeait par les officiers supérieurs de l'armée marocaine.
Le centre de la ville est en mouvement lourd déploiement du personnel de sécurité et les forces d'intervention rapide et d'assistance, y compris ceux avec tenues civils dans tous les rues, sans parler des patrouille policières intensive dans les quartiers qui cannaient une concentration de la population Sahraouis tel que le quartier du Hay TanTan, hay sekna et taamir, hay salam…dans une tentative d'intimider les citoyens sahraouis, les décourager, et les terrifiés a ne pas déplacés vers le camp de Al Gayez.
Comme nous signalons que les autorités marocaines ont donnaient l’ordre aux propriétaires de petites et de grandes taxi, et les moyens du transport de marchandises et les menacer a ne pas mener les tentes ou d’autres équipements pour les sahraouis, sans mentionner le ciblage et l'arrestation des conducteurs sahraouis des voitures (4x4) et la confiscation de leurs véhicules.
De plus, ces fractions sécuritaires ont construit un mur de honte autour des quatre directions de la ville en usant de lourdes engins militaires tels les bulldozers, afin de contrôler toutes les sorties et les entrées de la ville.
Mais malgré tout cela, la population sahraouie essaie désespérément dans son engagement à signer toutes les formules qui permettront d'atteindre ses exigences politique, économique et sociale.
Par le Codapso.
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El Aiun en état de siège .... Et les personnes déplacées au camp sont en péril :
(Plus de 8000 tentes, et plus de 36000 personnes dans le camp de Gdaim Izik à 12 Kms vers l’est de El Aiun). Chiffre présenté par le haut responsable sur le camp au Codapso le 24/10/2010).
Situation générale:
Dans le même contexte, des hélicoptères survolaient sur la ville comme sur le camp qui ont comme but d’annoncer l'arrivée de tout véhicule transportant plus de personnes vers le camp de Gdaim Izik, tout en continuant à la souffrance des personnes déplacées, qui souffrent du manque d'eau et le manque des médicaments et de nourriture, le faite qui constituent une menace évidente pour la vie des milliers d'entre eux.
Arrestation d’un citoyen Sahraoui et l’introduire devant la cours de première instance dans la ville de El Aiun:
Les forces marocaines ont introduis Mr. Mohamed Ould Abdati devant la cour de première instance dans la ville de El Aiun, qui a été arrêté le 14 Octobre à Boujdour suite à sa participation dans un exode collectif de la population de la ville de Boujdour, pour protester contre leurs exclusion systématique par l'administration marocaine depuis 1975 de la gestion des richesse du Sahara occidental, qui est pourquoi ils ont été arrêtés le citoyen sahraoui, et c’est la raison pour laquelle Mr. "Mohammed Abdati" a été arrêté avant d'être transféré vers la ville de El Aiun pour le condamner.
Recommandations:
Sur la base de ces données, le comité pour la défense du droit à l'autodétermination pour le peuple du Sahara occidental, charge l'état marocain de la responsabilité directe de ce qui se passe, comme il lance son à appel au monde à intervenir pour faire pression sur le Maroc afin de l'amener à respecter leurs droits civils et politiques, et aussi les réjouirent de leurs droits sociaux, économiques et culturels, ainsi que le respect de la liberté d'expression et d'opinion qui a conduit beaucoup d'entre eux en prison et au torture, comme il demande a la communauté internationale d'établir un mécanisme pour la protection des droits de l'homme sur le territoire du conflit, et de permettre aux organisations internationales d’y accéder au le Sahara occidental, et pour ouvrir les voix de solidarité pour apporter l'assistance nécessaire aux personnes déplacées dans les camps dans l’ensemble des villes du Sahara Occidental.
Un certain nombre de citoyens Sahraoui dans la ville de El Aiun / Sahara Occidental ont étaient réprimés par les forces sécuritaires marocaines a cause de leurs exode vers le désert comme titre de revendication. Ces citoyens sont déplaçaient vers un camp à l’est de la ville (12 Kms), la chose qui a interférée un usage excessif de la force contre ces citoyens par les différents segments des troupes sécuritaires marocaines pour les empêcher à rejoindre les rangs des personnes déplacées.
Et voici une liste préliminaire des victimes :
Mohamed Bouzid : blessure au niveau du bras.
Rlayla Souayah : blessure au niveau du dos.
Ahmed Boutabaa : blessure au niveau du taurasse.
Jmayaa Shafi : blessure au niveau des yeux.
Mahjoub Maalainin : blessure au niveau du bras et du cou.
Maymouna Zein : blessure au niveau du bras.
Mussawi Mohammed : blessure au niveau du dos et la tête.
Lektaib Khattari (âgé d'un an) : blessure au niveau de son bras.
Salka Hama : blessure au niveau de son œil.
Mbarka Zaka : blessure au niveau de ces côtes et l'oreille.
Bashir Aguilas : blessure au niveau du cou.
Sah Baba : blessé à la tête
Dafa à Khleifi blessé à la tête et le dos grièvement blessé.
Mohamed Fadel chikhi : blessé à la main.
Salka Khleifi : blessé au niveau du dos.
Bad Mahjoub : blessé au niveau des épaules.
Said Azariabia : blessure à la jambe (fracture à la jambe)
Mustapha Said Hadad : handicapé : blessures au niveau de la bouche et les mains.
AliSalem : blessé au niveau de la main.
D'autre part les membres du comité chargé de veiller à l'organisation du camp des déplacés sahraouis ont été exposés à une intervention violente suite à leurs protestation contre les troupes qui entouraient le camp en raison d'empêcher les personnes déplacées d’y pénétrer, le faite qui a poussaient les responsables militaires a agressés des membres suivants de ce Comité:
Daich Dafi : blessures grave au niveau du foie et du cœur.
Mohamed Bouzid : blessure au niveau du bras.
Rlayla Souayah : blessure au niveau du dos.
Ahmed Boutabaa : blessure au niveau du taurasse.
Jmayaa Shafi : blessure au niveau des yeux.
Mahjoub Maalainin : blessure au niveau du bras et du cou.
Maymouna Zein : blessure au niveau du bras.
Mussawi Mohammed : blessure au niveau du dos et la tête.
Lektaib Khattari (âgé d'un an) : blessure au niveau de son bras.
Salka Hama : blessure au niveau de son œil.
Mbarka Zaka : blessure au niveau de ces côtes et l'oreille.
Bashir Aguilas : blessure au niveau du cou.
Sah Baba : blessé à la tête
Dafa à Khleifi blessé à la tête et le dos grièvement blessé.
Mohamed Fadel chikhi : blessé à la main.
Salka Khleifi : blessé au niveau du dos.
Bad Mahjoub : blessé au niveau des épaules.
Said Azariabia : blessure à la jambe (fracture à la jambe)
Mustapha Said Hadad : handicapé : blessures au niveau de la bouche et les mains.
AliSalem : blessé au niveau de la main.
D'autre part les membres du comité chargé de veiller à l'organisation du camp des déplacés sahraouis ont été exposés à une intervention violente suite à leurs protestation contre les troupes qui entouraient le camp en raison d'empêcher les personnes déplacées d’y pénétrer, le faite qui a poussaient les responsables militaires a agressés des membres suivants de ce Comité:
Daich Dafi : blessures grave au niveau du foie et du cœur.
Zawi Hussein (35 ans) blessé au niveau de la tête, le bras, les mains et la cuisse droite.
Toubali Abdoullah (30 ans) blessures à la tête et de la hanche avant d’être transmis à l'hôpital.
Il convient de noter que ces citoyens qui ont été blessés alors qu'ils tentaient de rejoindre le camp, avant que leurs voitures soient tirés des balles réelles, après une course sur une voiture qui a été contré par des camion militaire. La voiture est de marque Toyota de plaque d'immatriculation n ° 68, A ,4974 dans la propriété d’un citoyen sahraoui, ensuite un homme et une femme ont été arrêtés de cette voiture. La même situation c’est introduisait avec le citoyen sahraoui Mr. Bouzaid Mohamed qui est immatriculée sous le n° 68, A, 5808 et jeter les bagages qui se trouvaient au bord, en plus ils ont forcer les passagers à sortir et les disperser en utilisant les bâtons et des pierres, plus les insultes verbale,
Toubali Abdoullah (30 ans) blessures à la tête et de la hanche avant d’être transmis à l'hôpital.
Il convient de noter que ces citoyens qui ont été blessés alors qu'ils tentaient de rejoindre le camp, avant que leurs voitures soient tirés des balles réelles, après une course sur une voiture qui a été contré par des camion militaire. La voiture est de marque Toyota de plaque d'immatriculation n ° 68, A ,4974 dans la propriété d’un citoyen sahraoui, ensuite un homme et une femme ont été arrêtés de cette voiture. La même situation c’est introduisait avec le citoyen sahraoui Mr. Bouzaid Mohamed qui est immatriculée sous le n° 68, A, 5808 et jeter les bagages qui se trouvaient au bord, en plus ils ont forcer les passagers à sortir et les disperser en utilisant les bâtons et des pierres, plus les insultes verbale,
La ville de El Aiun vive ces moments sous un extrême siège sécuritaire, où des patrouilles dans les rues avec des véhicules d'assistance roulent encore dans la ville, est cément la terreur, comme d'autres segments appartenant à la police marocaine interdisent les voitures 4x4 de circuler dans la ville, ainsi que la confiscation de plus de 40 voitures entre hier et aujourd'hui et l’introduisent dans la fourrière municipales. Comme nous signalons que l'armée marocaine qui a stationnés sur les côtés de la ville a créé un mur de sable pour isoler la ville du monde extérieur afin que les autorités de sécurité puissent contrôlés la ville et la population en plus de mur de honte mis en place pour l'isolement des Sahraouis déplacées.
Dans le même contexte, des hélicoptères survolaient sur la ville comme sur le camp qui ont comme but d’annoncer l'arrivée de tout véhicule transportant plus de personnes vers le camp de Gdaim Izik, tout en continuant à la souffrance des personnes déplacées, qui souffrent du manque d'eau et le manque des médicaments et de nourriture, le faite qui constituent une menace évidente pour la vie des milliers d'entre eux.
Réactions de la solidarité:
Dans le cadre de la solidarité avec les personnes déplacées, un convoi de 32 véhicules chargés de produits alimentaires appartenant à des sahraouis du secteur de l'éducation à El Aiun, qui ont décidés d'envoyer de l'aide aux personnes déplacées, en plus des familles d’autres villes sahraouis (surtout du Smara) ont rejoignaient le camps de Gdaim Izik.
Dans le cadre de la solidarité avec les personnes déplacées, un convoi de 32 véhicules chargés de produits alimentaires appartenant à des sahraouis du secteur de l'éducation à El Aiun, qui ont décidés d'envoyer de l'aide aux personnes déplacées, en plus des familles d’autres villes sahraouis (surtout du Smara) ont rejoignaient le camps de Gdaim Izik.
Arrestation d’un citoyen Sahraoui et l’introduire devant la cours de première instance dans la ville de El Aiun:
Les forces marocaines ont introduis Mr. Mohamed Ould Abdati devant la cour de première instance dans la ville de El Aiun, qui a été arrêté le 14 Octobre à Boujdour suite à sa participation dans un exode collectif de la population de la ville de Boujdour, pour protester contre leurs exclusion systématique par l'administration marocaine depuis 1975 de la gestion des richesse du Sahara occidental, qui est pourquoi ils ont été arrêtés le citoyen sahraoui, et c’est la raison pour laquelle Mr. "Mohammed Abdati" a été arrêté avant d'être transféré vers la ville de El Aiun pour le condamner.
Recommandations:
Sur la base de ces données, le comité pour la défense du droit à l'autodétermination pour le peuple du Sahara occidental, charge l'état marocain de la responsabilité directe de ce qui se passe, comme il lance son à appel au monde à intervenir pour faire pression sur le Maroc afin de l'amener à respecter leurs droits civils et politiques, et aussi les réjouirent de leurs droits sociaux, économiques et culturels, ainsi que le respect de la liberté d'expression et d'opinion qui a conduit beaucoup d'entre eux en prison et au torture, comme il demande a la communauté internationale d'établir un mécanisme pour la protection des droits de l'homme sur le territoire du conflit, et de permettre aux organisations internationales d’y accéder au le Sahara occidental, et pour ouvrir les voix de solidarité pour apporter l'assistance nécessaire aux personnes déplacées dans les camps dans l’ensemble des villes du Sahara Occidental.
Par le CODAPSO.
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diumenge, 24 d’octubre del 2010
Una caravana de 260 vehículos rompe el cerco impuesto al campamento de Gdeim Izik
Gdeim Izik (territorios ocupados), 23/10/2010 (SPS).-Una caravana compuesta por 260 vehículos rompió este viernes, el cerco impuesto por las fuerzas de ocupación marroquí a miles de saharauis en el campamento de Gdeim Izik a 12 kilómetros al este de El Aaiún, privados de agua, alimentos y medicinas, según una fuente del ministerio de los territorios ocupados y de las comunidades saharauis en el extranjero.
La caravana llevaba suministros para los expoliados saharauis en el "campamento de la independencia", la misma ha sido sometida a una revisión de varias horas por las fuerzas marroquíes que controlan las salidas y entradas a estos campamentos, señala la fuente.
Las fuerzas de ocupación marroquí han cercado el campamento para impedir el suministro de de agua, alimentos y medicinas a los asediados que se estiman entre 15 y 20.000 personas, incluidos niños, mujeres embarazadas, madres lactantes y ancianos, lamenta la misma fuente.
Estos refuerzos militares proceden del muro de la vergüenza y el interior de Marruecos para mantener un estado de sitio militar y prohibir la entrada de medios de información al "campamento de la independencia" con el fin de aislarlos del mundo exterior, agrega la fuente.
Por otra parte, al menos una docena de coches pertenecientes a los saharauis fueron atacados el viernes por las fuerzas marroquíes que "utilizaron piedras, botellas de vidrio y palos" para impedirles la entrada de los cuales más de 40 resultaron heridos.
Entre tanto las fuerzas marroquíes atacaron también a miembros del Comité de Coordinación del campamentos hiriendo a tres personas dos de ellos están detenidos y otro desaparecido.
Estas fuerzas se componen de distintas unidades militares y de intervención rápida del ejército marroquí, gendarmería y fuerzas auxiliares.
La caravana llevaba suministros para los expoliados saharauis en el "campamento de la independencia", la misma ha sido sometida a una revisión de varias horas por las fuerzas marroquíes que controlan las salidas y entradas a estos campamentos, señala la fuente.
Las fuerzas de ocupación marroquí han cercado el campamento para impedir el suministro de de agua, alimentos y medicinas a los asediados que se estiman entre 15 y 20.000 personas, incluidos niños, mujeres embarazadas, madres lactantes y ancianos, lamenta la misma fuente.
Estos refuerzos militares proceden del muro de la vergüenza y el interior de Marruecos para mantener un estado de sitio militar y prohibir la entrada de medios de información al "campamento de la independencia" con el fin de aislarlos del mundo exterior, agrega la fuente.
Por otra parte, al menos una docena de coches pertenecientes a los saharauis fueron atacados el viernes por las fuerzas marroquíes que "utilizaron piedras, botellas de vidrio y palos" para impedirles la entrada de los cuales más de 40 resultaron heridos.
Entre tanto las fuerzas marroquíes atacaron también a miembros del Comité de Coordinación del campamentos hiriendo a tres personas dos de ellos están detenidos y otro desaparecido.
Estas fuerzas se componen de distintas unidades militares y de intervención rápida del ejército marroquí, gendarmería y fuerzas auxiliares.
Fuente: SPS
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sahara occidental
Más de 41 ciudadanos saharauis heridos por la policía marroquí en un intento de incorporarse al campamento
Aaiún (territorios ocupados), 22/10/2010 (SPS).-Más de 41 ciudadanos saharauis resultaron heridos este viernes, después de una brutal intervención de la policía marroquí, que quería evitar que se unan al campamento de los exiliados, llamado "Campamento de la Independencia", a unos 12 km al este de la capital saharaui ocupada, El Aaiun, según un comunicado del Ministerio de los Territorios Ocupados y de la Comunidad Saharaui en el exterior.
Los ciudadanos saharauis que llevaban comida y agua a sus compatriotas en el campamento han salido de la ciudad por caminos no pavimentados para no ser detectados por la vigilancia de las fuerzas de seguridad, la gendarmería y las Fuerzas Auxiliares de Marruecos, y a su acercamiento al mismo fueron "violentamente golpeados por la policía marroquí que hirió a más de 41 personas, incluyendo mujeres, niños y ancianos", agrega la fuente.
Más de 14.000 saharauis han estado más de dos semanas en las afueras de las ciudades ocupadas de El Aaiún, Dajla, Smara y Bojador, y establecieron campamentos que los han bautizado con el nombre de "campamentos de la independencia", en protesta contra la marginación, la opresión y el empobrecimiento del pueblo saharaui bajo la ocupación, señala.
Muy pronto, las autoridades marroquíes han intervenido en contra de estos indefensos y pacíficos ciudadanos y envió ejército y seguridad, así como refuerzos en la zona para patrullar y cercar al campamento.
Estas fuerzas se componen de distintas unidades militares y cuerpos de intervención como de la gendarmería, las fuerzas auxiliares y grupos de intervención rápida de la policía. Estas fuerzas han levantado un muro alrededor del campamento para impedir cualquier tipo de ayuda o la incorporación de ciudadanos saharauis, además de una vigilancia aérea.
El presidente saharaui pide una acción urgente por parte de la ACNUR para brindar agua, alimentos y medicinas a la población en el exilio en los campamentos, para evitar una catástrofe humanitaria inminente ya que la situación continúa empeorándose debido al asedio impuesto por las autoridades marroquíes, y los expone a la sed, al hambre y las enfermedades.
Los ciudadanos saharauis que llevaban comida y agua a sus compatriotas en el campamento han salido de la ciudad por caminos no pavimentados para no ser detectados por la vigilancia de las fuerzas de seguridad, la gendarmería y las Fuerzas Auxiliares de Marruecos, y a su acercamiento al mismo fueron "violentamente golpeados por la policía marroquí que hirió a más de 41 personas, incluyendo mujeres, niños y ancianos", agrega la fuente.
Más de 14.000 saharauis han estado más de dos semanas en las afueras de las ciudades ocupadas de El Aaiún, Dajla, Smara y Bojador, y establecieron campamentos que los han bautizado con el nombre de "campamentos de la independencia", en protesta contra la marginación, la opresión y el empobrecimiento del pueblo saharaui bajo la ocupación, señala.
Muy pronto, las autoridades marroquíes han intervenido en contra de estos indefensos y pacíficos ciudadanos y envió ejército y seguridad, así como refuerzos en la zona para patrullar y cercar al campamento.
Estas fuerzas se componen de distintas unidades militares y cuerpos de intervención como de la gendarmería, las fuerzas auxiliares y grupos de intervención rápida de la policía. Estas fuerzas han levantado un muro alrededor del campamento para impedir cualquier tipo de ayuda o la incorporación de ciudadanos saharauis, además de una vigilancia aérea.
El presidente saharaui pide una acción urgente por parte de la ACNUR para brindar agua, alimentos y medicinas a la población en el exilio en los campamentos, para evitar una catástrofe humanitaria inminente ya que la situación continúa empeorándose debido al asedio impuesto por las autoridades marroquíes, y los expone a la sed, al hambre y las enfermedades.
Fuente: SPS
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dissabte, 23 d’octubre del 2010
Moroccan authorities attack members of coordinating committee of exodus camp in occupied El Aaiun
El Aaiun (occupied territories), October 23, 2010 (SPS) – The Moroccan repressive authorities violently attacked Friday members of the coordinating committee of the Saharawi exodus camp in the occupied El Aaiun, according to a source of the Ministry of the Occupied Territories and Communities Abroad.
The Moroccan authorities brutally attacked members of the coordinating committee leaving the injury of the three Saharawi citizens Buhali Abdalla, Zaui Housein and Addaich Oueld Sidi Oueld Daf, after they distributed the food supplies and medicine to the Saharawi immigrants in the exodus camp, east of El Aaiun.
It also arrested the two Saharawi citizens and members of the committee Sid Ahmed Tleimidi and Ahmed Bahia as well as abduction of Fadel Akmech on the same ground.
This wave of mass exodus of the Sahrawi citizens from the city of El Aaiun towards the suburbs continuous in protest against the bad social and economic conditions as well as illegal Moroccan occupation of Western Sahara.
The Moroccan army tightened the blockade on the camp of the Sahrawi exodus, east of the occupied city of El Aaiun, since October 10 and encircled entrances to the camp, where it prevented the entry of water, food supplies and medicine.
Source: SPS
The Moroccan authorities brutally attacked members of the coordinating committee leaving the injury of the three Saharawi citizens Buhali Abdalla, Zaui Housein and Addaich Oueld Sidi Oueld Daf, after they distributed the food supplies and medicine to the Saharawi immigrants in the exodus camp, east of El Aaiun.
It also arrested the two Saharawi citizens and members of the committee Sid Ahmed Tleimidi and Ahmed Bahia as well as abduction of Fadel Akmech on the same ground.
This wave of mass exodus of the Sahrawi citizens from the city of El Aaiun towards the suburbs continuous in protest against the bad social and economic conditions as well as illegal Moroccan occupation of Western Sahara.
The Moroccan army tightened the blockade on the camp of the Sahrawi exodus, east of the occupied city of El Aaiun, since October 10 and encircled entrances to the camp, where it prevented the entry of water, food supplies and medicine.
Source: SPS
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divendres, 22 d’octubre del 2010
Más de 15.000 civiles saharauis permanecen bloqueados por las fuerzas marroquíes en Agdaym Izik
El campamento que comenzó a formarse con unas cuantas jaimas reivindicando derechos sociales y laborales se ha convertido en una ciudad
Rabat traslada efectivos desde Agadir y Marrakech y fuerzas de intervención rápida procedentes del muro defensivo del Sahara y se producen los primeros heridos
Algunas mujeres del campamento en avanzado estado de gestación pierden sus bebés por las condiciones humanitarias límite del asentamiento
Santa Cruz de Tenerife.- Entre 15.000 y 20.000 civiles saharauis permanecen a unos 18 kilómetros de la capital del Sahara Occidental, El Aaiún, en el campamento que comenzó a formarse hace nueve días por un pequeño grupo de jaimas como acción de protesta reivindicando trabajo y servicios básicos como la sanidad y la educación para la población saharaui en el territorio ocupado por Marruecos desde 1975 y al que se han ido sumando centenares más, informó el Comité que gestiona el asentamiento al Servicio de Comunicación Saharaui en Canarias (SCSC), a última hora de ayer, jueves.
Tal es la acumulación de jaimas, sólo desde el sábado se han sumado más de 550, que forman ya una auténtica ciudad de tela en medio del desierto que, desde el miércoles, “permanece bloqueada por numerosos efectivos del Ejército marroquí, Fuerzas Auxiliares, Gendarmería Real y Fuerzas de Intervención Rápida con todo su equipamiento y munición real”, asegura el citado Comité. “Desde hace 5 días, intentan provocar a la población civil saharaui desarmada, impiden la llegada de agua, medicamentos y comida y siembran el terror con cazas y helicópteros que realizan pasadas rasantes una y otra vez”, atestiguan. Mujeres, ancianos y niños se han convertido en las primeras víctimas del bloqueo y “una mujer en avanzado estado de gestación, Lala Oum Lojut, perdió su bebé ante las duras condiciones de vida creadas por las fuerzas marroquíes”, aunque, “los comités creados para formar la seguridad interna, distribuir los pocos recursos existentes, y la determinación de la población ha evitado caer en las provocaciones y mantener una actitud pacífica en todo momento”.
Los acampados aseguran que “las autoridades de ocupación marroquíes han establecido una doble estrategia”. Por un lado, “el bloqueo armado al campamento así como a las zonas norte y nordeste de la ciudad de El Aaiún para evitar nuevas incorporaciones de civiles”. Por el otro, un “cerco informativo y absoluto de las comunicaciones del asentamiento con el exterior” y el despliegue de una “campaña masiva de calumnias e informaciones falsas sobre la situación para crear confusión y destruir la moral entre los acampados”. Rabat ha trasladado a la zona efectivos desde Agadir y Marrakech y fuerzas de intervención rápida procedentes del muro defensivo del Sahara.
Decenas de vehículos de saharauis que se dirigían al campamento han sido requisados y sus ocupantes detenidos para evitar su incorporación al mismo y ayer, jueves, “se produjeron numerosos heridos”, entre los que se nombra a “Fatimetu Butahba, Huria El Musaui, El Emhdaui Ahmed Mahayub, Jadiyetu Malainin y Sidati Chakudi”, en los datos recibidos por el SCSC. Los acampados advierten de que “los pozos se están secando, la comida se agota y los enfermos crónicos como diabéticos y asmáticos corren serio peligro de no permitirse la entrada de ayuda urgente, ayuda que las fuerzas marroquíes impiden llegar”. Anoche, “maquinaria militar y tropas cavaban zanjas a modo de trincheras alrededor del grupo de jaimas”.
Por lo tanto el Comité que gestiona el campamento de Agdaym Izik hace “un llamamiento urgente y desesperado a la comunidad internacional, a las organizaciones humanitarias y a los gobiernos democráticos del mundo para que paren este genocidio” y denuncian que “el pueblo saharaui es el único pueblo del mundo refugiado en su propio país”, ante lo que piden “medidas”.
Finalmente, la Delegación Saharaui en Canarias hizo ayer jueves público un comunicado (que adjuntamos a esta información) en el que “expresa su más enérgica repulsa y condena por la política de desprecio, marginación, opresión y represión practicada por el ocupante marroquí hacia nuestros ciudadanos indefensos y hace un llamamiento a las instituciones, fuerzas políticas y sindicales, a las organizaciones no gubernamentales y de defensa de los derechos humanos, a las organizaciones juveniles y a todas las fuerzas vivas de la sociedad civil canaria para que intervengan a fin de garantizar la seguridad y la libertad de los exiliados saharauis en su propia tierra”.
Font: (SCSC)
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Sitiados en Gdeim Izik
Campamento de Gdeim Izik.
2 testimonios.
21 de octubre de 2010.
A la 1,30 h de la noche, 30 camiones del ejército han formado un campamento a su vez, 2 kms al Este del Campamento de Gdeim Izik. Están prohibiendo la circulación entre la ciudad de El Aaiún y el campamento. Ningún coche puede acercarse, por lo que no hay suministro de agua ni de comida o medicinas.
En Gdeim Izik hay una gran movilización política. La mayoría de la gente está declarando su independencia. Aunque hay dos posturas -los que defienden los derechos económicos y sociales y los que defienden la autodeterminación- están todos unidos para lograr todo lo que piden. En estos días aumenta el nivel politico.
La presión europea puede ayudarles. Necesitan que la prensa se haga eco de lo que está sucediendo, y que misiones humanitarias intervengan para facilitar la asistencia sanitaria y la llegada de agua y alimentos.
Hoy, a la 1,00 pm, Alcheik Albashra se dirigía al campamenatao de Gdeim Izik en un Land Rover con unos amigos. La policía les prohibió el paso de manera que sus amigos volvieron, pero él insistió en seguir porque tenía allí a su madre y su hermana. Al poco tiempo, aparecieron dos Land Cruiser del ejército. Le golpearon en el hombro con un fusil, y, al caer, le pegaron una patada en el ojo, y se desmayó. Cuando se repuso, estaba solo, empezó a andar lentamente y fue recogido por otros saharauis. Le llevaron al hospital Hasan ibn al-Mahdi donde le negaron la asistencia por ser saharaui. Le atendieron posteriormente en una clínica privada.
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dijous, 21 d’octubre del 2010
Western Sahara: UPDATE - Trial of seven human rights defenders adjourned until 5 November 2010 while lawyers and observers were harassed
Posted on 2010/10/19
Front Line has received the following update in relation to the case of seven Western Saharan human rights defenders including Mr Ali Salem Tamek, Mr Brahim Dahane and Mr Ahmad Anasiri.
Further Information
On 15 October 2010, the Moroccan criminal court of Casablanca adjourned the trial of seven Sahrawi human rights defenders until 5 November 2010. Three of the human rights defenders, namely Mr Ali Salem Tamek, Mr Brahim Dahane, and Mr Ahmad Anasiri, were not permitted to travel to the court hearing from Sale prison where they are currently being held. The other four defendants, who were released on bail earlier this year, namely Mr Yadih Ettarrouzi, Mr Rachid Sghayar, Mr Saleh Lebayhi and Ms Idagja Lachgare, presented themselves to the court.
A representative of the defence team stated that the legal nature of the case has been changed from “felony” to “delinquency”. The human rights defenders have been accused of “endangering the security of the state”, an accusation which the defence team stated was not based on any evidence.
During the session, a large number of Moroccan lawyers, who are apparently against self-determination for Western Sahara, shouted slogans and harassed the defendants, their lawyers and Sahrawi and international observers who attended the session.
In response to the failure of the court to hear the case, Mr Ali Salem Tamek, Mr Brahim Dahane and Mr Ahmad Anasiri issued a joint statement condemning the Moroccan state for persistently denying them the right
to a fair trial. They also condemned the manner in which the Moroccan lawyers harassed both the defendants and their legal representatives, as well as Sahrawi and international observers. Mr Ali Salem Tamek, Mr Brahim Dahane and Mr Ahmad Anasiri have announced that in protest against the manner in which the Moroccan authorities have dealt with their case, and to highlight the denial of their legitimate right to a fair trial, they will go on hunger strike on 19 and 20 October 2010.
Mr Ali Salem Tamek is the Vice-President of the Sahrawi Collective of Human Rights Defenders (CODESA); Mr Brahim Dahane is the President of the Sahrawi Association of Victims of Grave Violations of Human Rights (ASVDH), and Mr Ahmad Anasiri is the General Secretary of the Sahrawi Committee for the Defence of Human Rights in Smara. The three human rights defenders were arrested along with four others on 8 October 2009 at Mohamed V Airport in Casablanca. The other four defenders - Mr Yadih Ettarrouzi, Mr Rachid Sghayar, Mr Saleh Lebayhi and Ms Idagja Lachgare - were released on bail earlier this year. On 21 September 2010 the military court in Rabat declined jurisdiction over the case of Ali Salem Tamek, Brahim Dahane and Ahmad Anaciri.
Please see the previous Front Line update of 15 October 2010
Further Information
On 15 October 2010, the Moroccan criminal court of Casablanca adjourned the trial of seven Sahrawi human rights defenders until 5 November 2010. Three of the human rights defenders, namely Mr Ali Salem Tamek, Mr Brahim Dahane, and Mr Ahmad Anasiri, were not permitted to travel to the court hearing from Sale prison where they are currently being held. The other four defendants, who were released on bail earlier this year, namely Mr Yadih Ettarrouzi, Mr Rachid Sghayar, Mr Saleh Lebayhi and Ms Idagja Lachgare, presented themselves to the court.
A representative of the defence team stated that the legal nature of the case has been changed from “felony” to “delinquency”. The human rights defenders have been accused of “endangering the security of the state”, an accusation which the defence team stated was not based on any evidence.
During the session, a large number of Moroccan lawyers, who are apparently against self-determination for Western Sahara, shouted slogans and harassed the defendants, their lawyers and Sahrawi and international observers who attended the session.
In response to the failure of the court to hear the case, Mr Ali Salem Tamek, Mr Brahim Dahane and Mr Ahmad Anasiri issued a joint statement condemning the Moroccan state for persistently denying them the right
to a fair trial. They also condemned the manner in which the Moroccan lawyers harassed both the defendants and their legal representatives, as well as Sahrawi and international observers. Mr Ali Salem Tamek, Mr Brahim Dahane and Mr Ahmad Anasiri have announced that in protest against the manner in which the Moroccan authorities have dealt with their case, and to highlight the denial of their legitimate right to a fair trial, they will go on hunger strike on 19 and 20 October 2010.
Mr Ali Salem Tamek is the Vice-President of the Sahrawi Collective of Human Rights Defenders (CODESA); Mr Brahim Dahane is the President of the Sahrawi Association of Victims of Grave Violations of Human Rights (ASVDH), and Mr Ahmad Anasiri is the General Secretary of the Sahrawi Committee for the Defence of Human Rights in Smara. The three human rights defenders were arrested along with four others on 8 October 2009 at Mohamed V Airport in Casablanca. The other four defenders - Mr Yadih Ettarrouzi, Mr Rachid Sghayar, Mr Saleh Lebayhi and Ms Idagja Lachgare - were released on bail earlier this year. On 21 September 2010 the military court in Rabat declined jurisdiction over the case of Ali Salem Tamek, Brahim Dahane and Ahmad Anaciri.
Please see the previous Front Line update of 15 October 2010
Source
http://www.frontlinedefenders.org/node/13593
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dimecres, 20 d’octubre del 2010
Concentració de suport als més de 10.000 sahrauís desplaçats en el Campament de Protesta a les afores de l'Aaiun
La Delegació del Front Polisario a Catalunya, amb el suport i l'organització de L'ACAPS i Resistència Sahrauí, convoca tot el moviment solidari amb el poble sahrauí a concentrar-se davant de la Generalitat de Catalunya (a la plaça de Sant Jaume de Barcelona), el proper dissabte 23 d'octubre, a les 18h. Properament us farem arribar el manifest.
La concentració es farà per donar suport als més de 10.000 sahrauís desplaçats en el Campament de Protesta a les afores de l'Aiún, per exigir unes condicions de vida dignes i el respecte dels drets humans al Sàhara Occidental Ocupat.
Contra la ocupació del Marroc i la repressió constant i violenta de les autoritats marroquines.
Per aturar el genocidi contra el poble sahrauí i l'apartheid als territoris ocupats del Sàhara Occidental.
Pels drets humans dels i les sahrauís.
Hem d'unir esforços! Fem sentir la veu dels i les sahrauís!
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