dilluns, 6 de desembre del 2010

Les événements et les conséquences de l'odieuse agression des colons marocains sur les élèves sahraouis à Smara / Sahara occidental:


Smara / Sahara occidental
30 novembre / Novembre 2010

Premièrement :
Préface:        
Depuis le démantèlement forcé de l'armée et les diverses fractions  de sécurité  marocaine du camp  Gdaym Izik le 08  Novembre 2010 à 12 kms à l’est de El aiun principale ville du Sahara occidental, et ce qui la suit des violations flagrantes des droits de l'homme qui  ont affectés tous les sahraouis soit dans le camp ou bien dans la ville.

Et dans la partie sous contrôle marocain du territoire du Sahara occidental qui vis sur l'impact du siège complet, ainsi que sur les restrictions non seulement à El aiun mais dans l’ensemble des villes du Sahara occidental, y compris  la ville de Smara qui n’as pas déraillé du même axe, l’axe de la signature de diverses formes de violations des droits de l’homme contre le peuple sahraoui dans la ville, surtout celui de la surveillance des activistes afin de limiter leurs mouvements. Et Le grand  souci c’est d'inciter et d’acharner les colons marocains contre les sahraouis, comme titre de proxy pour servir certaines politiques systématiques des autorités marocaines afin de neutraliser et de faire taire la voix Sahraouie de ne pas réclamer aucun droit spécialement celui à l'autodétermination.
 
Le Comité pour la défense du droit à l'autodétermination pour le peuple du Sahara occidental CODAPSO, a suivi ce qui s'est passé à Smara / Sahara occidental et il a préparé le rapport suivant.

Deuxièmement:
Les faits:
 Des groupes de colons marocains sous une escorte de police marocaine  le 29 Novembre 2010,ont attaquaient  des dizaines d'élèves  sahraouis dans  l'établissement scolaire secondaire nommé « Prince Moulay Rachid » au sein de dix heures du matin, et c’est le temps de la récréation matinale, et sans avertissement, des dizaines de colons marocains y compris des élèves du même établissement scolaire, la plupart d’eux sont des intrus armés de couteaux, des épées et des bâtons, en portant des drapeaux marocains et des photos  du roi du Maroc, où ils ont attaquaient les élèves innocents Sahraouis qui ont étaient sans défense, cette attaque a fait des dizaines de victimes tous  sahraouis, certains d'entre ont été grièvement blessés, le faite qui a nécessité le transfert de beaucoup d'entre eux vers le service des urgences  à l'hôpital provincial de la ville.
 
Selon les témoignages des victimes pour le Codapso , tel le témoignage des victimes "Lamira Lbalek" (19 ans) et l'élève "Ali Olfdil" (20 ans), dans lesquelles ils ont réclamaient qu’ ils ont  été «surpris le lundi 29 de Novembre, tandis que les élèves étaient en récréation pendant 10 minutes avant de retourner à leurs classes, par une attaque avec un usage excessif de force menée par des dizaines de colons contre eux, où ils ont usés des  armes blanc (couteaux , rasoirs, et bâtons) afin de nuire les étudiants sahraouis, cette attaque qui a duré près d'une heure.

Cet acte odieux inhumain qui a introduisait des dizaines de victimes, dont des élèves grièvement blessés. "
 
Le Comité a conclu suite à sa couverture  de ces événements que les attaques des colons marocains  contre les élèves Sahraouis était probablement à l'instigation des autorités marocaines, représentées  dans le nommé  "Brahim Boutoumilate" qui exerce la fonction du  Pacha dans la ville et les services de sécurité, conduit par des agents de sécurité connues à la torture et la cruauté contre les sahraouis, surtout la fameuse brigade connus sous "Brigade de la mort", la version qui la favorise les déclarations de certains témoins pour le Codapso , dans lesquelles ces victimes ont affirmé la présence personnelle du Pacha, et la couverture des services de sécurité de l'attaque, même plus certains témoins ont affirmés qu’ils y’avaient des  éléments de sécurité qui ont dirigées ces colons, et qu’ils ont fournis des armes blanches comme les couteaux et les bâtons, tout cela renforce l'hypothèse que l'intention de cet attaque a été systématique et réalisé par les autorités et les services de sécurité marocains dans la ville.
 
Après que les autorités, en plus des services de sécurité marocaines ont dirigeaient l'attaque contre la élèves sahraouis, et après qu’ils ont effectués  leurs attaques, ils ont  encerclés  toutes les entrées et les sorties de cet établissement scolaire , comme ils ont empêchés les familles Sahraouies d’y accédées ni de s’approcher de l'endroit après avoir appris les nouvelles que leurs enfants ont été cible d’une attaque charognard , même plus et sous la présence du Pacha, ces autorités ont quasiment interdit quelques-unes des mères qui ont insisté sur l’évacuation de leurs enfants, par contre ils ont facilitées l’accès d’un nombre de colons marocains vers la scène du crime sous la couverture de la sécurité sans rendre comptes, tout cela renforce l’hypothèse  de l’extrême complicité des autorités et les services de sécurité marocains avec les agresseurs.
 
Non seulement les colons  ont attaqué les élèves  sahraouis dans cet institution, mais ils ont terminés leurs attaques en organisant une marche  dans l’avenue  principale (Avenue Hassan II) en face de cet établissement scolaire en portant des drapeaux  du Maroc, ainsi que leurs armes blanches escortés par des voiture de la police pour sécuriser la route de cette marche, et dans laquelle ils ont ciblé les maisons des sahraouis à côté de l'établissement  et dans cet avenue, y compris les domiciles des familles:
 
• Domicile de la famille: Taher Lanssar, bloc 1, le nouveau quartier de Smara.
• Domicile de la famille: Laabidi hmaim, quartier des bâtiments Avenue Hassan II Smara.
• Domicile de la famille: Sharif Mohamed Ould Omar, bloc 1, le nouveau quartier de Smara.

Troisièmement: Les pertes matérielles et les victimes:
-1 - Les pertes matérielles:
Cette attaque a laissé de grand dégâts  matériels  au niveau de l'infrastructure de l'établissement scolaire : les salles de classe où les colons marocains ont cassés, détruis les bureaux, les fenêtres, les portes, les vestiaires, et d’autres installations tél que:
• Les : portes, tableaux, étagères, tables, bureaux et le verre des fenêtres sont tous cassés.
• La destruction des systèmes d’éclairage ainsi que l’installation d’eau.
• La destruction totale des équipements des laboratoires.
• la perturbation et la destruction des documents  de l’administration de cet établissement.
• le pillage et le vol de toutes choses à grande valeur.
• la confiscation des documents et des archives des élèves Sahraouis.

-2 - Les victimes:
• Toutes les victimes ont été des élèves sahraouis  dont le nombre est de trente et une victime, (voir l'annexe).
• Beaucoup de victimes ont subi des graves blessures, le faite qui les a obligé à leurs transfère  urgent vers l'hôpital provinciale de la ville.
• Le Comité a examiné les traces de sang sur les murs et les planchers dans les salles de classe qui appartient à des étudiants sahraouis.
• Les membres du comité ont visité les blessés à l'hôpital de Smara dont le nombre et  de vingt-trois cas, et ils se sont tenaient personnellement à leur état de santé inquiétant, ainsi que la manipulation inhumain de personnes en charge de ce service public.
• La plupart des blessés ont été transportés vers l'hôpital par leurs familles ou grâce à d’autres Sahraouis dans  l'absence totale de moyens de transport public et d'ambulance.
• les médecins ont refusé de confier des certificats médicaux attestant le niveau et la gravité de l’agression aux victimes, afin de ne les pas utilisés comme preuves contre les agresseurs pour éviter toute poursuite judiciaire.
• Sept des victimes dont leurs situation est hautement grave  ont été évacué vers l'hôpital militaire de la ville de Guelmim  Sud /Maroc.
• Un seul cas a demandé son transfert vers l’un des hôpitaux d’Agadir / Maroc.

Quatrièmement: Recommandations:

Le Comité  du Codapso déclare le suivant:

v Sa forte condamnation de ces actes criminels commis par les colons marocains sou l’encadrement des autorités marocaines contre les élèves sahraouis et contre  leur familles.
v Sa solidarité absolue avec les élèves sahraouis victimes de cet attentat odieux.
v Son dénonce de la politique raciste des autorités marocaines d’acharner les colons marocains contre les civils sahraouis et son exploitation des colons pour passer leurs violations dans le domaine des droits de l'homme.
v Sa réclamation de mener une enquête ouverte, transparente et impartiale dans le cadre de l'attaque qui a fait comme bilan des dizaines de victimes parmi les innocents élèves sahraouis.
v Sa demande de traduire les auteurs de cet acte ignoble à la justice et de traduire les  responsables réels devant la justice surtout le Pacha et le chef des forces de sécurité marocaines dans la ville.

  Pièces jointes:

- Listes des élèves sahraouis blessés:
- Le nom de l’élève Sahraouie qui a été transféré vers l’hôpital  d’Agadir / Maroc:
         - Buthaina Dlaimi: Blessures au niveau de l’ensemble de son corps, et elle est dans un état trop grave selon le témoignage de sa famille.

- Les victimes qui ont été transféré vers l’hôpital militaire de Guelmim / Sud Maroc:
1. Tfarah Tabet: Blessures au niveau de la tête et des épaules.
2. Rabab Hamoudi: Blessures au niveau de l’ensemble de son corps.
3. Houriya Hamoudi: Blessure au niveau de son pied.
4. Dwayja Leajal: Blessures au niveau de l'épaule, le bras et la tête.
5. Nadifa Barikallah: Blessures au niveau des épaules et du dos.
6. Olaia Siba: Blessure au niveau de la tête.
7. Ibrahim Khouna: Blessures au niveau de l'avant-bras et la jambe.

- Les victimes qui ont été prises à l'hôpital provincial de Smara / Sahara occidental:
1. Fatma Adli: Torturée par la police et blessée au niveau des épaules.
2. Ahmed Idrissi: Blessure au niveau de la main.
3. Swaylihi Lemaadal: Blessure au niveau de la main.
4. Bassiri Ahmed: Blessure au niveau du dos.
5. Hanini Yahdih: Blessure au niveau de la main.
6. Mariam Zaawati: Blessure  au niveau de la jambe.
7. Swaylika Hmaim: Grièvement blessé au niveau du dos.
8. Mbarka Lebaihi: Blessure au niveau du pied.
9. Babouzayd Mehdi: une jambe cassée.
10. Hamoudi Rgaybi: Blessure au niveau du bras.
11. Khadaja Jenhaoui: Blessures au niveau du bras et des pieds.
12. Omar Boknyn: Blessure au niveau de la tête.
13. Habib Siba: Blessure au niveau du pied.
14. Nadifa Boukla: Blessures au niveau de la main et du visage.
15. Hamza Lebaihi: Blessure au niveau du pied.
16. Warda Amenkor: Blessure au niveau de la main.
17. Professeur Abdullah Chichaoui: Blessures au niveau des mains et des bras.
18. Hamza Bardaley: Blessure au niveau de la main.
19. Mustapha Zaikem: Blessure au niveau de la main.
20. Lamira Lbalek: Blessure au niveau du pied.
21. Zahra Kazaz: Blessure au niveau du pied.
22. Ali Olfdil: Blessure au niveau de l'épaule.
23. Mohammed Dadda: Blessure au niveau du visage.

- Photos des victimes et des traces de sang, ainsi que la taille de la destruction de l'établissement scolaire (Lycée Prince My Rachid).
              
- Liens des vidéos des témoignages des victimes.
              Voir les liens: ....
 
Source: CODAPSO

dijous, 2 de desembre del 2010

Interdiction des familles Sahraouis de visiter leurs proches dans la prison locale de Salé / Maroc


Sale  / Maroc :
Le : 02 Décembre 2010 :

Contre toutes les conventions internationales relatives au traitement des prisonniers, l'administration pénitentiaire marocaine a refusé de permettre au familles Sahraouis de rendre visite à leurs proches détenus dans la prison locale de Salé / Maroc, et qui sont poursuivis par le tribunal militaire permanent à Rabat.

Après les tentatives des visites échouées faites par les familles de chacun de Naama Asafari, Abdul Jalil Ould Lemghaimad Laaroussi, et Mr. Abdullah Abhah - détenus dans le groupe du douze prisonniers politiques Sahraouis -. Et après que  la famille de chacun de Abdu-Rahman Zayou ,et  Cheikh  Bangua ont posés leurs demandes de visite auprès du tribunal militaire, et qu’ells ont eu des licences de visites signées par le juge d'instruction militaire, dans lesquelles il permet de visiter leurs proches au sein du même groupe. Elles ont été surpris par le refus de l'administration pénitentiaire, qui a déclaré l’abscence des prisonniers et après le retour des familles au juge d'instruction pour la protestation et la revendication de révéler le sort de leurs proches, l'administration pénitentiaire de cette prison a bien confirmé leur présence, mais elle a refusé
l’autorisation de la visite des familles sous prétexte de la gravité du dossier, et la nécessité d'une autorisation de visite délivrai par l'administration pénitentiaire centrale.

 Le refus de l’autorisation aux familles Sahraouis malgré les frais élevés du voyage , la longue distance, et la fatigue a fin de visiter leurs proches / détenus politiques dans le contexte du massacre de démonter le camp de Gdaym Izik(12 Kms à l’est de El-Aiun) le 08 Novembre dernier, n’est qu’une nouvelle épisode dans la série des violations des droits de l’homme commissent par l'état marocain contre le peuple sahraoui, et qui se considère comme acte de violation grave du droit de la visite, qui est garantie par tous les instruments internationaux pertinents pour le traitement des prisonniers, en particulier l'ensemble de règles minima pour le traitement des prisonniers de l'Organisation des Nations Unies 1955 (article 37), ainsi que la loi marocaine des prisons 98/23 (article 75.76), le faite qui explique les soucies et  la crainte du comité (CODAPSO) sur le sort des douze prisonniers de conscience : Mrs : (Naama Asafari, Abdallahi Khfawni, Mohammed boréale, Abdul Jalil Laaroussi, Sidi Abdullah Abhah, Sidi Abdo-Rahman Zayou, Mohammed Ayoubi, Taqui Machdoufi, Mohamed Lamine Hadi, Mohamed Bashir Boutenguiza, Mohammed Bani, et Cheikh Bangua), surtout qu’ils ont étaient soumis à diverses formes de torture, qui a nécessité le transfert de l'un d'eux vers l'hôpital de Salé / Maroc dans une situation extrêmement grave.

Face à cette violation grave, le Comité pour la défense du droit à l'autodétermination pour le peuple du Sahara occidental, appel l'Etat marocain a fin de permettre aux familles endeuillées de visiter leurs proches, aussi il lance son appel urgent à toutes les forces de la démocratie et des droits de l’homme de faire pression sur le Maroc pour permettre aux détenus de réjouir de tous leurs droits surtout le droit à la visite et celui du traitement médicale.



Source: CODAPSO

Brutal asalto, en un Instituto de Smara, lleno de estudiantes saharauis

Tras la manifestación orquestada por el Gobierno marroquí y el Rey de Marruecos, estando al frente de la manifestación personalidades relevantes de dicho gobierno, atacando a la sociedad española y propugnando el levantamiento de la población en defensa de la ocupación del Sahara Occidental, sigue alentando el odio y represión brutal contra la población desarmada saharaui.

La declaración del Parlamento Europeo, condenando a Marruecos por la violencia ejercida y pidiendo a Naciones Unidas comisiones de investigación y la ampliación del mandato de la Minurso, hizo que en diversos lugares de la ciudad de Smara, se hicieran manifestaciones pacíficas y sentadas de decenas de saharauis, en apoyo a dicha declaración durante el sábado y domingo pasado. El asalto al Instituto de Smara es la represión del régimen marroquí por las manifestaciones de apoyo a dicha declaración. Los manifestantes eran, en muchos casos, estudiantes del Instituto de Smara. Mediante esta acción violenta, según manifestaciones de activistas y testigos, Marruecos trata de sembrar el terror y el odio para sofocar estas manifestaciones.

Así, hoy 29 de noviembre, grupos numerosos de colonos, armados fuertemente con cadenas, palos y armas blancas, amparados y protegidos por fuerzas policiales de ocupación marroquíes,  asaltaron violentamente el Instituto Mulay Rachid, en la ciudad santa de Smara, en el momento del recreo, y dentro del patio del colegio, atacaron e hirieron a estudiantes y padres saharauis,  provocando numerosos heridos que hubieron de ser trasladados al hospital.

Ya desde las primeras horas del día se fue organizando, sin provocación previa, y planeado entre los colonos y los estudiantes marroquíes, una acción de castigo contra los estudiantes saharauis del Instituto.

Una vez que sonó la sirena en el patio del Instituto, llamando a los alumnos al recreo, entraron violentamente grupos armados de colonos marroquíes, custodiando la entrada la policía marroquí para impedir que, otros ciudadanos saharauis pudieran acudir en ayuda de los estudiantes que estaban dentro del centro. El asalto ha sido brutal, existen varios videos grabados donde se ve a los estudiantes saharauis apilando dentro de un aula todo tipo de enseres contra los cristales, para evitar la entrada de los colonos. Igualmente están filmadas las consecuencias del asalto (mobiliario destrozado y heridos). Según testigos presenciales del asalto, y miembros de comités de defensa de los derechos humanos que han podido presenciar el ataque, relatan la violencia extrema de los colonos armados y estudiantes marroquíes que, defendidos y amparados por la policía marroquí, atacaron a los estudiantes saharauis en una planificación de dicho asalto, fruto del clima de terror que Marruecos, en una escalada sin precedentes, al estar al frente públicamente de la represión en los medios de comunicación los ministros de Mohamed VI.
Las consecuencias del asalto ha sido más de 40 jóvenes estudiantes saharauis heridos, que fueron trasladados al hospital  regional de Smara, donde a la 1:00 de la madrugada, que estamos redactando esta noticia, el hospital sigue lleno de saharauis, habiéndose marchado los médicos para no atender a los heridos, encontrándose dentro del hospital los servicios secretos marroquíes y el exterior rodeado por fuerzas auxiliares, gendarmería real y policía. El control que ejerce Marruecos intenta evitar que periodistas, familiares o cualquier persona pueda tener contacto con los enfermos para sacar la información. Los tratamientos a los heridos han consistido en curas de urgencias y sin tratamientos específicos, no pudiendo las familias de los heridos encontrarse a solas con los jóvenes.

Las fotos han sido remitidas a esta Fundación por la persona que las tomó, en los primeros momentos de la llegada de los heridos al hospital.

Una vez que cometieron la agresión dentro del Instituto, los grupos agresores salieron blandiendo en alto sus armas y palos, bajo la protección de las fuerzas de ocupación y por la avenida principal de Smara, cantando vítores a favor del rey de Marruecos, atacaron las casas de los saharauis que se encontraban en las proximidades del Instituto así como agredían e insultaban a todos aquellos saharauis que se encontraron por la calle; gritaban eslóganes como: “saharauis sois mercenarios”, “estáis en manos de Argelia”, “muerte a los saharauis”, “viva el rey de Marruecos”, “Sahara marroquí”, “saharauis, rendíos o fuera del Sahara”…

Heridos:

1.    Abdelahi Chichaui: contusiones y hematomas en la mano y brazo (profesor).
2.    Ahmed Ailla: golpes en la mano y la espalda.
3.    Ahmed Lidrisi: golpes en la mano.
4.    Ahmed Uabani: heridas en la pierna y hombro.
5.    Aicha Bulam: golpes en el pecho.
6.    Ali Ufdil: golpes en el hombro.
7.    Aomar Buklin: golpes en la cabeza.
8.    Auba Aicha: fractura de muñeca izquierda.
9.    Babuzeit Mhedi: golpes en diferentes partes del cuerpo.
10.  Barikala Nadif: golpes en la espalda y en las costillas.
11.  Buehi Embarek: golpes en la pierna.
12.  Dlemi Buzeina: golpes en el hígado, vomitó sangre.
13.  Dueiya Ayel: golpes en el hombro.
14.  Elfdil Ali: golpes en el hombro.
15.  Halima Sidi Mohamed Bubakar: golpes en la pierna izquierda.
16.  Hamsa Bardeli: golpes en la mano.
17.  Hamudi Erguibi: golpes en el brazo.
18.  Hanini Yahadil: parado cardiorespiratoria debido a un golpe en el pecho.
19.  Hurria Hamudi: golpes en todo el cuerpo.
20. Jadaya Yenaui: heridas en la espalda.
21. Lemeidal Salah: fractura de pierna.
22. Mariam Zawati: heridas en el hombro y pierna.
23. Mohamed Dada: golpes en la cara.
24. Mustafa Seikan: golpes en la mano.
25. Nadifa Bukala: golpes en la cara y la mano.
26. Numeira Elbalek: golpes en la pierna.
27. Rabab Hamudi: golpes en la espalda.
28. Seiba Oleia: golpes en la cabeza.
29. Seibah Lahbit: heridas en la mano.
30. Suelhi Lemadel: golpes en la pierna.
31. Suelika Brahim Humein: herida muy grave en la mano y golpes en la cara.
32. Tfarah Zabet: heridas en el hombro.
33. Warda Menkur: golpes en la mano y la espalda.
34. Yahhia Kreibis: golpes en la mano.
35. Yahnini Ahmed: golpes en la mano izquierda.
36. Zahara Kazaz: golpes en la pierna.

Las familias que fueron al colegio para buscar a sus hijos y fueron también agredidas brutalmente:

1.    Wahra Ment Nayem Uld Kebif: golpes muy fuertes (madre de alumno)


Font: Fundación Sahara Occidental