dilluns, 6 de desembre del 2010

Les événements et les conséquences de l'odieuse agression des colons marocains sur les élèves sahraouis à Smara / Sahara occidental:


Smara / Sahara occidental
30 novembre / Novembre 2010

Premièrement :
Préface:        
Depuis le démantèlement forcé de l'armée et les diverses fractions  de sécurité  marocaine du camp  Gdaym Izik le 08  Novembre 2010 à 12 kms à l’est de El aiun principale ville du Sahara occidental, et ce qui la suit des violations flagrantes des droits de l'homme qui  ont affectés tous les sahraouis soit dans le camp ou bien dans la ville.

Et dans la partie sous contrôle marocain du territoire du Sahara occidental qui vis sur l'impact du siège complet, ainsi que sur les restrictions non seulement à El aiun mais dans l’ensemble des villes du Sahara occidental, y compris  la ville de Smara qui n’as pas déraillé du même axe, l’axe de la signature de diverses formes de violations des droits de l’homme contre le peuple sahraoui dans la ville, surtout celui de la surveillance des activistes afin de limiter leurs mouvements. Et Le grand  souci c’est d'inciter et d’acharner les colons marocains contre les sahraouis, comme titre de proxy pour servir certaines politiques systématiques des autorités marocaines afin de neutraliser et de faire taire la voix Sahraouie de ne pas réclamer aucun droit spécialement celui à l'autodétermination.
 
Le Comité pour la défense du droit à l'autodétermination pour le peuple du Sahara occidental CODAPSO, a suivi ce qui s'est passé à Smara / Sahara occidental et il a préparé le rapport suivant.

Deuxièmement:
Les faits:
 Des groupes de colons marocains sous une escorte de police marocaine  le 29 Novembre 2010,ont attaquaient  des dizaines d'élèves  sahraouis dans  l'établissement scolaire secondaire nommé « Prince Moulay Rachid » au sein de dix heures du matin, et c’est le temps de la récréation matinale, et sans avertissement, des dizaines de colons marocains y compris des élèves du même établissement scolaire, la plupart d’eux sont des intrus armés de couteaux, des épées et des bâtons, en portant des drapeaux marocains et des photos  du roi du Maroc, où ils ont attaquaient les élèves innocents Sahraouis qui ont étaient sans défense, cette attaque a fait des dizaines de victimes tous  sahraouis, certains d'entre ont été grièvement blessés, le faite qui a nécessité le transfert de beaucoup d'entre eux vers le service des urgences  à l'hôpital provincial de la ville.
 
Selon les témoignages des victimes pour le Codapso , tel le témoignage des victimes "Lamira Lbalek" (19 ans) et l'élève "Ali Olfdil" (20 ans), dans lesquelles ils ont réclamaient qu’ ils ont  été «surpris le lundi 29 de Novembre, tandis que les élèves étaient en récréation pendant 10 minutes avant de retourner à leurs classes, par une attaque avec un usage excessif de force menée par des dizaines de colons contre eux, où ils ont usés des  armes blanc (couteaux , rasoirs, et bâtons) afin de nuire les étudiants sahraouis, cette attaque qui a duré près d'une heure.

Cet acte odieux inhumain qui a introduisait des dizaines de victimes, dont des élèves grièvement blessés. "
 
Le Comité a conclu suite à sa couverture  de ces événements que les attaques des colons marocains  contre les élèves Sahraouis était probablement à l'instigation des autorités marocaines, représentées  dans le nommé  "Brahim Boutoumilate" qui exerce la fonction du  Pacha dans la ville et les services de sécurité, conduit par des agents de sécurité connues à la torture et la cruauté contre les sahraouis, surtout la fameuse brigade connus sous "Brigade de la mort", la version qui la favorise les déclarations de certains témoins pour le Codapso , dans lesquelles ces victimes ont affirmé la présence personnelle du Pacha, et la couverture des services de sécurité de l'attaque, même plus certains témoins ont affirmés qu’ils y’avaient des  éléments de sécurité qui ont dirigées ces colons, et qu’ils ont fournis des armes blanches comme les couteaux et les bâtons, tout cela renforce l'hypothèse que l'intention de cet attaque a été systématique et réalisé par les autorités et les services de sécurité marocains dans la ville.
 
Après que les autorités, en plus des services de sécurité marocaines ont dirigeaient l'attaque contre la élèves sahraouis, et après qu’ils ont effectués  leurs attaques, ils ont  encerclés  toutes les entrées et les sorties de cet établissement scolaire , comme ils ont empêchés les familles Sahraouies d’y accédées ni de s’approcher de l'endroit après avoir appris les nouvelles que leurs enfants ont été cible d’une attaque charognard , même plus et sous la présence du Pacha, ces autorités ont quasiment interdit quelques-unes des mères qui ont insisté sur l’évacuation de leurs enfants, par contre ils ont facilitées l’accès d’un nombre de colons marocains vers la scène du crime sous la couverture de la sécurité sans rendre comptes, tout cela renforce l’hypothèse  de l’extrême complicité des autorités et les services de sécurité marocains avec les agresseurs.
 
Non seulement les colons  ont attaqué les élèves  sahraouis dans cet institution, mais ils ont terminés leurs attaques en organisant une marche  dans l’avenue  principale (Avenue Hassan II) en face de cet établissement scolaire en portant des drapeaux  du Maroc, ainsi que leurs armes blanches escortés par des voiture de la police pour sécuriser la route de cette marche, et dans laquelle ils ont ciblé les maisons des sahraouis à côté de l'établissement  et dans cet avenue, y compris les domiciles des familles:
 
• Domicile de la famille: Taher Lanssar, bloc 1, le nouveau quartier de Smara.
• Domicile de la famille: Laabidi hmaim, quartier des bâtiments Avenue Hassan II Smara.
• Domicile de la famille: Sharif Mohamed Ould Omar, bloc 1, le nouveau quartier de Smara.

Troisièmement: Les pertes matérielles et les victimes:
-1 - Les pertes matérielles:
Cette attaque a laissé de grand dégâts  matériels  au niveau de l'infrastructure de l'établissement scolaire : les salles de classe où les colons marocains ont cassés, détruis les bureaux, les fenêtres, les portes, les vestiaires, et d’autres installations tél que:
• Les : portes, tableaux, étagères, tables, bureaux et le verre des fenêtres sont tous cassés.
• La destruction des systèmes d’éclairage ainsi que l’installation d’eau.
• La destruction totale des équipements des laboratoires.
• la perturbation et la destruction des documents  de l’administration de cet établissement.
• le pillage et le vol de toutes choses à grande valeur.
• la confiscation des documents et des archives des élèves Sahraouis.

-2 - Les victimes:
• Toutes les victimes ont été des élèves sahraouis  dont le nombre est de trente et une victime, (voir l'annexe).
• Beaucoup de victimes ont subi des graves blessures, le faite qui les a obligé à leurs transfère  urgent vers l'hôpital provinciale de la ville.
• Le Comité a examiné les traces de sang sur les murs et les planchers dans les salles de classe qui appartient à des étudiants sahraouis.
• Les membres du comité ont visité les blessés à l'hôpital de Smara dont le nombre et  de vingt-trois cas, et ils se sont tenaient personnellement à leur état de santé inquiétant, ainsi que la manipulation inhumain de personnes en charge de ce service public.
• La plupart des blessés ont été transportés vers l'hôpital par leurs familles ou grâce à d’autres Sahraouis dans  l'absence totale de moyens de transport public et d'ambulance.
• les médecins ont refusé de confier des certificats médicaux attestant le niveau et la gravité de l’agression aux victimes, afin de ne les pas utilisés comme preuves contre les agresseurs pour éviter toute poursuite judiciaire.
• Sept des victimes dont leurs situation est hautement grave  ont été évacué vers l'hôpital militaire de la ville de Guelmim  Sud /Maroc.
• Un seul cas a demandé son transfert vers l’un des hôpitaux d’Agadir / Maroc.

Quatrièmement: Recommandations:

Le Comité  du Codapso déclare le suivant:

v Sa forte condamnation de ces actes criminels commis par les colons marocains sou l’encadrement des autorités marocaines contre les élèves sahraouis et contre  leur familles.
v Sa solidarité absolue avec les élèves sahraouis victimes de cet attentat odieux.
v Son dénonce de la politique raciste des autorités marocaines d’acharner les colons marocains contre les civils sahraouis et son exploitation des colons pour passer leurs violations dans le domaine des droits de l'homme.
v Sa réclamation de mener une enquête ouverte, transparente et impartiale dans le cadre de l'attaque qui a fait comme bilan des dizaines de victimes parmi les innocents élèves sahraouis.
v Sa demande de traduire les auteurs de cet acte ignoble à la justice et de traduire les  responsables réels devant la justice surtout le Pacha et le chef des forces de sécurité marocaines dans la ville.

  Pièces jointes:

- Listes des élèves sahraouis blessés:
- Le nom de l’élève Sahraouie qui a été transféré vers l’hôpital  d’Agadir / Maroc:
         - Buthaina Dlaimi: Blessures au niveau de l’ensemble de son corps, et elle est dans un état trop grave selon le témoignage de sa famille.

- Les victimes qui ont été transféré vers l’hôpital militaire de Guelmim / Sud Maroc:
1. Tfarah Tabet: Blessures au niveau de la tête et des épaules.
2. Rabab Hamoudi: Blessures au niveau de l’ensemble de son corps.
3. Houriya Hamoudi: Blessure au niveau de son pied.
4. Dwayja Leajal: Blessures au niveau de l'épaule, le bras et la tête.
5. Nadifa Barikallah: Blessures au niveau des épaules et du dos.
6. Olaia Siba: Blessure au niveau de la tête.
7. Ibrahim Khouna: Blessures au niveau de l'avant-bras et la jambe.

- Les victimes qui ont été prises à l'hôpital provincial de Smara / Sahara occidental:
1. Fatma Adli: Torturée par la police et blessée au niveau des épaules.
2. Ahmed Idrissi: Blessure au niveau de la main.
3. Swaylihi Lemaadal: Blessure au niveau de la main.
4. Bassiri Ahmed: Blessure au niveau du dos.
5. Hanini Yahdih: Blessure au niveau de la main.
6. Mariam Zaawati: Blessure  au niveau de la jambe.
7. Swaylika Hmaim: Grièvement blessé au niveau du dos.
8. Mbarka Lebaihi: Blessure au niveau du pied.
9. Babouzayd Mehdi: une jambe cassée.
10. Hamoudi Rgaybi: Blessure au niveau du bras.
11. Khadaja Jenhaoui: Blessures au niveau du bras et des pieds.
12. Omar Boknyn: Blessure au niveau de la tête.
13. Habib Siba: Blessure au niveau du pied.
14. Nadifa Boukla: Blessures au niveau de la main et du visage.
15. Hamza Lebaihi: Blessure au niveau du pied.
16. Warda Amenkor: Blessure au niveau de la main.
17. Professeur Abdullah Chichaoui: Blessures au niveau des mains et des bras.
18. Hamza Bardaley: Blessure au niveau de la main.
19. Mustapha Zaikem: Blessure au niveau de la main.
20. Lamira Lbalek: Blessure au niveau du pied.
21. Zahra Kazaz: Blessure au niveau du pied.
22. Ali Olfdil: Blessure au niveau de l'épaule.
23. Mohammed Dadda: Blessure au niveau du visage.

- Photos des victimes et des traces de sang, ainsi que la taille de la destruction de l'établissement scolaire (Lycée Prince My Rachid).
              
- Liens des vidéos des témoignages des victimes.
              Voir les liens: ....
 
Source: CODAPSO

dijous, 2 de desembre del 2010

Interdiction des familles Sahraouis de visiter leurs proches dans la prison locale de Salé / Maroc


Sale  / Maroc :
Le : 02 Décembre 2010 :

Contre toutes les conventions internationales relatives au traitement des prisonniers, l'administration pénitentiaire marocaine a refusé de permettre au familles Sahraouis de rendre visite à leurs proches détenus dans la prison locale de Salé / Maroc, et qui sont poursuivis par le tribunal militaire permanent à Rabat.

Après les tentatives des visites échouées faites par les familles de chacun de Naama Asafari, Abdul Jalil Ould Lemghaimad Laaroussi, et Mr. Abdullah Abhah - détenus dans le groupe du douze prisonniers politiques Sahraouis -. Et après que  la famille de chacun de Abdu-Rahman Zayou ,et  Cheikh  Bangua ont posés leurs demandes de visite auprès du tribunal militaire, et qu’ells ont eu des licences de visites signées par le juge d'instruction militaire, dans lesquelles il permet de visiter leurs proches au sein du même groupe. Elles ont été surpris par le refus de l'administration pénitentiaire, qui a déclaré l’abscence des prisonniers et après le retour des familles au juge d'instruction pour la protestation et la revendication de révéler le sort de leurs proches, l'administration pénitentiaire de cette prison a bien confirmé leur présence, mais elle a refusé
l’autorisation de la visite des familles sous prétexte de la gravité du dossier, et la nécessité d'une autorisation de visite délivrai par l'administration pénitentiaire centrale.

 Le refus de l’autorisation aux familles Sahraouis malgré les frais élevés du voyage , la longue distance, et la fatigue a fin de visiter leurs proches / détenus politiques dans le contexte du massacre de démonter le camp de Gdaym Izik(12 Kms à l’est de El-Aiun) le 08 Novembre dernier, n’est qu’une nouvelle épisode dans la série des violations des droits de l’homme commissent par l'état marocain contre le peuple sahraoui, et qui se considère comme acte de violation grave du droit de la visite, qui est garantie par tous les instruments internationaux pertinents pour le traitement des prisonniers, en particulier l'ensemble de règles minima pour le traitement des prisonniers de l'Organisation des Nations Unies 1955 (article 37), ainsi que la loi marocaine des prisons 98/23 (article 75.76), le faite qui explique les soucies et  la crainte du comité (CODAPSO) sur le sort des douze prisonniers de conscience : Mrs : (Naama Asafari, Abdallahi Khfawni, Mohammed boréale, Abdul Jalil Laaroussi, Sidi Abdullah Abhah, Sidi Abdo-Rahman Zayou, Mohammed Ayoubi, Taqui Machdoufi, Mohamed Lamine Hadi, Mohamed Bashir Boutenguiza, Mohammed Bani, et Cheikh Bangua), surtout qu’ils ont étaient soumis à diverses formes de torture, qui a nécessité le transfert de l'un d'eux vers l'hôpital de Salé / Maroc dans une situation extrêmement grave.

Face à cette violation grave, le Comité pour la défense du droit à l'autodétermination pour le peuple du Sahara occidental, appel l'Etat marocain a fin de permettre aux familles endeuillées de visiter leurs proches, aussi il lance son appel urgent à toutes les forces de la démocratie et des droits de l’homme de faire pression sur le Maroc pour permettre aux détenus de réjouir de tous leurs droits surtout le droit à la visite et celui du traitement médicale.



Source: CODAPSO

Brutal asalto, en un Instituto de Smara, lleno de estudiantes saharauis

Tras la manifestación orquestada por el Gobierno marroquí y el Rey de Marruecos, estando al frente de la manifestación personalidades relevantes de dicho gobierno, atacando a la sociedad española y propugnando el levantamiento de la población en defensa de la ocupación del Sahara Occidental, sigue alentando el odio y represión brutal contra la población desarmada saharaui.

La declaración del Parlamento Europeo, condenando a Marruecos por la violencia ejercida y pidiendo a Naciones Unidas comisiones de investigación y la ampliación del mandato de la Minurso, hizo que en diversos lugares de la ciudad de Smara, se hicieran manifestaciones pacíficas y sentadas de decenas de saharauis, en apoyo a dicha declaración durante el sábado y domingo pasado. El asalto al Instituto de Smara es la represión del régimen marroquí por las manifestaciones de apoyo a dicha declaración. Los manifestantes eran, en muchos casos, estudiantes del Instituto de Smara. Mediante esta acción violenta, según manifestaciones de activistas y testigos, Marruecos trata de sembrar el terror y el odio para sofocar estas manifestaciones.

Así, hoy 29 de noviembre, grupos numerosos de colonos, armados fuertemente con cadenas, palos y armas blancas, amparados y protegidos por fuerzas policiales de ocupación marroquíes,  asaltaron violentamente el Instituto Mulay Rachid, en la ciudad santa de Smara, en el momento del recreo, y dentro del patio del colegio, atacaron e hirieron a estudiantes y padres saharauis,  provocando numerosos heridos que hubieron de ser trasladados al hospital.

Ya desde las primeras horas del día se fue organizando, sin provocación previa, y planeado entre los colonos y los estudiantes marroquíes, una acción de castigo contra los estudiantes saharauis del Instituto.

Una vez que sonó la sirena en el patio del Instituto, llamando a los alumnos al recreo, entraron violentamente grupos armados de colonos marroquíes, custodiando la entrada la policía marroquí para impedir que, otros ciudadanos saharauis pudieran acudir en ayuda de los estudiantes que estaban dentro del centro. El asalto ha sido brutal, existen varios videos grabados donde se ve a los estudiantes saharauis apilando dentro de un aula todo tipo de enseres contra los cristales, para evitar la entrada de los colonos. Igualmente están filmadas las consecuencias del asalto (mobiliario destrozado y heridos). Según testigos presenciales del asalto, y miembros de comités de defensa de los derechos humanos que han podido presenciar el ataque, relatan la violencia extrema de los colonos armados y estudiantes marroquíes que, defendidos y amparados por la policía marroquí, atacaron a los estudiantes saharauis en una planificación de dicho asalto, fruto del clima de terror que Marruecos, en una escalada sin precedentes, al estar al frente públicamente de la represión en los medios de comunicación los ministros de Mohamed VI.
Las consecuencias del asalto ha sido más de 40 jóvenes estudiantes saharauis heridos, que fueron trasladados al hospital  regional de Smara, donde a la 1:00 de la madrugada, que estamos redactando esta noticia, el hospital sigue lleno de saharauis, habiéndose marchado los médicos para no atender a los heridos, encontrándose dentro del hospital los servicios secretos marroquíes y el exterior rodeado por fuerzas auxiliares, gendarmería real y policía. El control que ejerce Marruecos intenta evitar que periodistas, familiares o cualquier persona pueda tener contacto con los enfermos para sacar la información. Los tratamientos a los heridos han consistido en curas de urgencias y sin tratamientos específicos, no pudiendo las familias de los heridos encontrarse a solas con los jóvenes.

Las fotos han sido remitidas a esta Fundación por la persona que las tomó, en los primeros momentos de la llegada de los heridos al hospital.

Una vez que cometieron la agresión dentro del Instituto, los grupos agresores salieron blandiendo en alto sus armas y palos, bajo la protección de las fuerzas de ocupación y por la avenida principal de Smara, cantando vítores a favor del rey de Marruecos, atacaron las casas de los saharauis que se encontraban en las proximidades del Instituto así como agredían e insultaban a todos aquellos saharauis que se encontraron por la calle; gritaban eslóganes como: “saharauis sois mercenarios”, “estáis en manos de Argelia”, “muerte a los saharauis”, “viva el rey de Marruecos”, “Sahara marroquí”, “saharauis, rendíos o fuera del Sahara”…

Heridos:

1.    Abdelahi Chichaui: contusiones y hematomas en la mano y brazo (profesor).
2.    Ahmed Ailla: golpes en la mano y la espalda.
3.    Ahmed Lidrisi: golpes en la mano.
4.    Ahmed Uabani: heridas en la pierna y hombro.
5.    Aicha Bulam: golpes en el pecho.
6.    Ali Ufdil: golpes en el hombro.
7.    Aomar Buklin: golpes en la cabeza.
8.    Auba Aicha: fractura de muñeca izquierda.
9.    Babuzeit Mhedi: golpes en diferentes partes del cuerpo.
10.  Barikala Nadif: golpes en la espalda y en las costillas.
11.  Buehi Embarek: golpes en la pierna.
12.  Dlemi Buzeina: golpes en el hígado, vomitó sangre.
13.  Dueiya Ayel: golpes en el hombro.
14.  Elfdil Ali: golpes en el hombro.
15.  Halima Sidi Mohamed Bubakar: golpes en la pierna izquierda.
16.  Hamsa Bardeli: golpes en la mano.
17.  Hamudi Erguibi: golpes en el brazo.
18.  Hanini Yahadil: parado cardiorespiratoria debido a un golpe en el pecho.
19.  Hurria Hamudi: golpes en todo el cuerpo.
20. Jadaya Yenaui: heridas en la espalda.
21. Lemeidal Salah: fractura de pierna.
22. Mariam Zawati: heridas en el hombro y pierna.
23. Mohamed Dada: golpes en la cara.
24. Mustafa Seikan: golpes en la mano.
25. Nadifa Bukala: golpes en la cara y la mano.
26. Numeira Elbalek: golpes en la pierna.
27. Rabab Hamudi: golpes en la espalda.
28. Seiba Oleia: golpes en la cabeza.
29. Seibah Lahbit: heridas en la mano.
30. Suelhi Lemadel: golpes en la pierna.
31. Suelika Brahim Humein: herida muy grave en la mano y golpes en la cara.
32. Tfarah Zabet: heridas en el hombro.
33. Warda Menkur: golpes en la mano y la espalda.
34. Yahhia Kreibis: golpes en la mano.
35. Yahnini Ahmed: golpes en la mano izquierda.
36. Zahara Kazaz: golpes en la pierna.

Las familias que fueron al colegio para buscar a sus hijos y fueron también agredidas brutalmente:

1.    Wahra Ment Nayem Uld Kebif: golpes muy fuertes (madre de alumno)


Font: Fundación Sahara Occidental

dijous, 25 de novembre del 2010

En este vídeo SE PUEDE OBSERVAR COMO EL EJÉRCITO SÍ UTILIZA ARMAS DE FUEGO CONTRA LOS CIUDADANOS DEL CAMPAMENTO

Informe sobre la brutal intervención de las fuerzas del ejército marroquí contra manifestantes saharauis en El Aaiún, Sahara Occidental.


*INFORMACIÓN DESDE EL AAIUN*
*Lunes, 22 noviembre 2010*

La situación que impera en la ciudad de El Aaiun ocupado, continua siendo alarmante. Las unidades del ejército marroquí, las Fuerzas Auxiliares y la policía, desplegados en la zona, están sembrando el terror entre la población.

El allanamiento selectivo de viviendas, ubicadas en los barrios de mayoría saharaui, tiene como fin encontrar y secuestrar a personas identificadas por sus nombres y apellidos. Entre las decenas de ciudadanos secuestrados, se encuentran:

Mohamed Elbachir Alali Butenguisa
El Moussaoui  Abdelahi
Sidi Abderrahman Salama Ali Zeyou

(de los que se ha sabido que se encuentran entre los detenidos que serán presentados ante el tribunal militar)

Los 117 nuevos presos políticos ingresados en la Cárcel Negra de El Aaiun, están viviendo una situación infernal. La tortura, las vejaciones y los maltratos les son practicados día y noche por un pelotón de verdugos,
trasladados desde los “centros secretos” de Marruecos para esta misión concreta.

Hacinados en las celdas y en condiciones infrahumanas, los presos son castigados con privación del sueño, sin alimentación ni tratamiento a sus graves dolencias.

En el día de hoy, 22 de noviembre, alrededor de setenta madres se han manifestado  ante la sede de la administración penitenciaria de la Cárcel Negra, condenando el maltrato que sufren sus hijos y reclamando que se permita visitar a sus familiares detenidos para conocer el estado físico y psicológico en el que se encuentran.

La respuesta que recibieron por parte de esa administración, fue el brutal desalojo y la represión policial dirigida por el mismo Pachá de la ciudad, mientras que algunos funcionarios negaban a las madres la existencia de presos saharauis en esta cárcel.

Del grupo inicial de ocho presos políticos que, supuestamente han sido trasladados a la cárcel de Sale (Marruecos), según las autoridades de ocupación para ser sometidos a un tribunal militar, se desconoce su paradero actual y la situación física y moral en la que se encuentran. Sus familias, que no han podido visitarlos, no fueron avisados de su detención ni de su traslado, si es que realmente se encuentran en esa cárcel, como suponen sus parientes.

A este grupo se suman los otros tres detenidos que han sido enviados a la misma cárcel dentro del mismo expediente también para el tribunal militar, lo que suman once presos políticos. Sus nombres son:

NAAMA ASFARI
ABDELAHI LEKHFAOUNI
BANGA CHEIKH
MOHAMED BOURIAL
LAROSI ABDELYALIL
BANI MOHAMED
MOHAMED AYOUBI
TAKI MACHDOUFI
MOHAMED ELBACHIR ALALI  BUTENGUISA
EL MOUSSAOUI ABDELAHI
SIDI ABDERRAHMAD SALAMA ALI ZEYOU

Nota: Se teme por el estado de salud del preso Mohamed Ayoubi, enfermo diabético y de colesterol, que debido a la enfermedad carece de dentadura y padece de grandes heridas en los pies.

El número de muertos es aún desconocido. Marruecos habla de la posibilidad de que muchos de los desaparecidos se encuentren escondidos en el desierto, mientras testigos oculares confirman la existencia de decenas de cadáveres en el hospital militar de El Aaiun.

Hasta el momento, los que han sido reconocidos por sus familias son:

1-ELGARHI NAYEM. Muerto por balas de fuego. Enterrado en El Aaiun.

2-EL GARGAR BABI. Muerto por atropello intencionado de dos vehículos de la policía en la Avda. Smara, cuando le descubrieron grabando en la calle y tirando piedras. Su familia se ha negado a enterrarlo mientras no se realice una investigación que aclare los hechos de su muerte. Su cuerpo se encuentra en el mortuorio del hospital militar de El Aaiun.

3-DAWDI BRAHIM, muerto durante la intervención militar del ejército en la ciudad.

4-ALNSARI ALI SALEM GHALI HMEDNAH. Nacido en 1981, fue herido de gravedad en la cabeza, con fractura cervical y trasladado por su familia que, de manera secreta decidió arriesgarse a llevarlo al hospital de Agadir en un intento por salvarle la vida, donde murió el día 10 de noviembre de 2010. Respetando su último deseo, su cuerpo fue enterrado junto al de su abuela, quién lo crió y que por motivos de salud murió en Rabat, lugar en el que se encuentran ambos enterrados, en vez de en El Aaiun.

[Para desmentir el fallecimiento de este último, Marruecos presentó a otra persona llamada ALNSARI ABDESLAM MAHAYOUB ZAIDAN, que bajo coacción y amenazas de desaparición, fue obligado a hacerse pasar por el fallecido y  a declarar en la TV local que se encontraba vivo. Luego, lo echaron a la calle
poniendo en su mano 3000 dirham (260 euros)]

Algunos de los  heridos por  balas de fuego son:
MUSTAFA BUNAN  (Ver fotos)
BACHIR MOHAMED ABDELJALIL  (ver fotos)
MOHAMED MAHFUD AZAFATI HAMMADI
MOHAMED SIDAHMED AYAD Alias SUEINA

*
Martes, 23 de noviembre 2010
*
En la mañana del día de hoy, se produjo un repliegue de las unidades del ejército hacia los cuarteles de la ciudad, pero testigos oculares informaron de la aparición de grupos de personas que aparentaban ser civiles para camuflar la existencia de represión en las calles ante la presencia de observadores, sobre todo, ante la inminente llegada de una comisión de Amnistía Internacional.

Más de un centenar de madres de los nuevos presos políticos, han organizado hoy una sentada frente a la cárcel Negra para exigir que se les permita visitar a sus hijos. La protesta ha durado más de seis horas, por lo que han decidido volver al mismo lugar, mañana a las 13 h. para intentar ver a sus hijos.

La policía marroquí continúa con sus prácticas de secuestros selectivos que ejerce día y noche.  Esta mañana han secuestrado al ciudadano Mohamed Sidahmed Ayad, Alias Sueina.

diumenge, 14 de novembre del 2010

ASÍ TORTURA MARRUECOS A LOS CIUDADANOS ESPAÑOLES EN EL AAIUN

Marruecos ha estado torturando durante 5 días al ciudadano español, AHMED YEDDOU SALEM LECUARA, con documento nacional de identidad 78.599.430-N y pasaporte número BC986689, expedido el 3 de marzo de 2008 por la autoridad DGP35494L6P1, junto con 71 ciudadanos saharauis.

Ahmed Yeddou Salem Lecuara nació el 27 de julio de 1976 en El Aaiun, Sahara Occidental, casado y padre de 1 hijo y que según carta remitida a esta Fundación, relata los hechos de cómo:

“Entré en Marruecos el día 04/11/2010, por la tarde. Llegué a El Aaiun el día 06/11/2010. Fui de visita familiar el día 07/11/2010 al campamento de los saharauis, ubicados a 14 km, dirección Smara. El día 08/11/2010 hubo la invasión salvaje del ejército marroquí. A las 6 H. de la mañana me detuvieron, me ataron y me torturaron fuertemente. Me encuentro muy grave.”

“Pido vuestra colaboración inmediata para salir del territorio hacia España.”

Esta Fundación ha podido saber por el propio ciudadano europeo que a las 22:00 h. del día 9 de noviembre de 2010, familiares del español detenido, enviaron un fax al Consulado de España en Agadir pidiendo la protección para él y explicando lo sucedido, nadie hizo nada ni enviaron a personal del Consulado para protegerle.

Según relata fue llevado al Cuartel de la Gendarmería marroquí en la ciudad de El Aaiun, donde fue salvajemente torturado junto con otras 72 personas. Según ha referido telefónicamente a esta Fundación, le golpearon con porras y todo tipo de objetos, tanto a él como al resto de los detenidos, por todo el cuerpo; le colgaron cabeza abajo con las manos atadas a la espalda. Otra tortura que sufrió, junto con el resto de los detenidos fue no dejarles dormir.
Allí estuvo durante 5 días hasta que fue puesto en libertad el viernes, 12 de noviembre de 2010, cuando fue conducido al Tribunal de El Aaiun y, a pesar de solicitar ante ese Tribunal poder denunciar lo que le había sucedido, no se lo permitieron, dejándolo en libertad junto con 6 más de los 72 que fueron conducidos a este Tribunal. El resto fue juzgado y se encuentran en prisiones del Sahara Occidental y de Marruecos.

Pide al Gobierno de España que lo saque urgentemente del Sahara Occidental para ser curado de las graves heridas que padece.

Obra en nuestro poder fotocopia del pasaporte de este ciudadano que nos ha hecho llegar.

Es urgente que el Gobierno de España por vía de sus servicios diplomáticos se pongan urgentemente en contacto con el ciudadano español Ahmed Yeddou Salem Lecuara para proporcionarle la vía segura para salir del Sahara Occidental y recibir asistencia médica.

Igualmente instamos el Gobierno de España para que proteja a la población saharaui y española que se encuentra en la que fue su 53 provincia, condene sin paliativos el magnicidio que se está cometiendo en el Sahara Occidental y despliegue toda su capacidad y alianzas estratégicas para que intervenga la Comunidad Internacional, la Cruz Roja y se amplíe el mandato de la MINURSO, depurando las responsabilidades del gobierno marroquí y autores del genocidio contra este pueblo y los ciudadanos españoles y saharauis que están siendo sometidos a las más graves violaciones de derechos humanos, como relatan los testimonios de todos los testigos de estos hechos.

Fuente: Fundación Sahara Occidental

diumenge, 31 d’octubre del 2010

Testimonio de la madre de Nayem Elgarhi

MANIFESTACIÓ A MADRID DISSABTE 13 de Novembre a les 12:00h ¡¡¡MARRUECOS FUERA DEL SAHARA! 35 AÑOS DE OCUPACIÓN ¡BASTA YA!

Davant dels últims aconteixements i la dramàtica situació que s'està vivint, "l'enrocament" del regne alauita i les estupideses successives del nostre Govern i Ministeri d'Afers Exteriors, així com la creixent demanda social i política del moment que exigeix una gran mobilització, us estem convocant per fer un titànic esforç per manifestar-nos a Madrid el proper dissabte dia 13 de Novembre, a les 12:00 hores.  Aquesta manifestació, convocada per la Coordinadora Estatal de Asociaciones de Amistad y Solidaridad con el Pueblo Saharaui (CEAS - Sáhara) i la Plataforma cívica pro-referendum en el Sáhara pretén unir en una sola i contundent veu a la gran majoria de ciutadans/es de tot l'Estat per denunciar la gestió del Govern en aquest assumpte i exigir una solució definitiva.
Per això, des de l'ACAPS volem facilitar el desplaçament a Madrid i oferim la possibilitat d'anar-hi en autocars.

- És indispensable inscriure's prèviament a acaps@acaps.cat o trucant al 670.85.47.33 o 93.305.52.06 (de dilluns a divendres de 16 a 19 hores). El termini per la inscripció es tancarà el proper dia 5 de novembre.


- El preu del viatge serà finalment de 10€ per facilitar el desplaçament a les persones amb dificultats econòmiques. A ingressar al número de compte: 2041-0092-06–0040007200 (Caixa Manresa). No us descuideu d'especificar el vostre nom en fer el pagament, i recordeu de portar el resguard de l'ingrès el dia de sortida de l'autocar.

- Les dades necessàries per a la inscripció són: NOM i COGNOMS, telèfon i municipi de residència de cada persona.
- La sortida serà des de  Plaça de Sants el proper divendres dia 12 a les 23'30h. aproximadament. Us mantindrem informats.
- La tornada des de Madrid serà a les 16:00 del dia 13, i ja informarem del lloc exacte més endavant.
Tots a Madrid!!!

UNA CONCENTRACIÓ MULTITUDINÀRIA!

Gràcies per la vostra col·laboració!

NECESIDAD URGENTE DE MEDICAMENTOS

Viernes, 29 de Octubre de 2010
 

Dada la alarmante situación que esta viviedo la población saharaui que se encuentra desplazada, en el campamento protesta que han instalado, en los los territorios ocupados del Sahara Occidental, a 14km de El Aaiún, en Gdeim Izik, hacen una petición urgente de medicamentos. Las fuerzas de seguridad marroquíes están realizando un hermético bloqueo al Campamento de la Dignidad, dónde tan solo se están reclamando derechos sociales, provocados por la marginación que realiza el ocupante marroquí, con la población saharaui.

En estos momentos se hace muy dificil acceder al campamento, por lo que todos los enfermos que allí se encuentran, no están pudiendo ser atendidos, entre ellos se encuentran muchos ancianos y niños, el número de estos enfermos es de cientos y va en aumento, por el empeoramiento prograsico de la situación.

Por ello, la dirección del campamento, escuchando las peticiones de todos los saharauis, ha solicitado a los compañeros de Thawra que se encuentran en el interior el envío de los medicamentos que más falta hacen. Debido a la dificultad del envío, desde Thawra, aportamos un número de cuenta para que; todo el que pueda y quiera, pueda ingresar el dinero que considere y así poder comprar, en la ciudad de El Aaiún, todos los medicamentos necesarios para llevarlos al campamento.
Basicamente, lo que necesitan son : Antibioticos, Antinflamatorios, Analgesico y antiperifericos (fiebre), aunque más abajo detallamos lo que nos han pedido.

El número de cuenta es:
Nacional: 0182 1938 11 0201560737
Internacional: ES68 0182 1938 1102 0156 0737
La lista de los medicamentos que necesitan es:
-         Antibióticos, sobre todo para la boca.
-         Caja de instrumentos con lo necesario para suturar.
-         Hojas de bisturí.
-         Hilo.
-         Labstix (para medir la glucosa y la acetona en la orina).
-         Intranules de 18 – 20 – 22 (agujas para inyectar en vena y poner un suero ¿cánulas?).
-         Tubulares para el suero.
-         Suero salado y glucosado.
-         Estetoscopio y aparato de tensión.
-         Antiinflamatorios: pastillas y cremas Voltaren.
-         Hidrocortisona (para el asma provocada por el polvo).
-         Jeringas 5cc.
-         Biogaze.
-         Biafin, pomada.
-         Primperán inyectable.
-         Antagon H2 inyectable.
-         Profinit inyectable.
-         Histazin inyectable.
-         Compresas estériles para las heridas.

Queremos resaltar la GRAN NECESIDAD de la obtención de estos medicamentos.

Muchas gracias por vuestra colaboración.
Fuente: www.saharathawra.com
649 170 302

Les sahraouis assiégés

Testimonio sobre el asesinato de Elgarhi Najem

Testimonio de la família de los hermanos Alaui, heridos por el ejército marroquí el passado 24 de octubre de 2010

El campamento de Gdaym Iziq hace un llamamiento urgente a la comunitad internacional para evitar un genocidio

dimecres, 27 d’octubre del 2010

El Sáhara Occidental no es Marruecos.

En la página 16 del folleto de Iberojet Otoño - Invierno 2010/11 Marruecos, aparece un mapa donde el Sáhara Occidental y su capital El Aaiún, están incluidos en el mapa de Marruecos.



Hay que enviar oleada de e-mails pidiendo su rectificación.

Enviar a:

 

Texto:

Sres. de Iberojet.

En la página 16 de su folleto de Otoño - Invierno 2010/11 sobre Marruecos, yo como cliente, me encuentro con la desagradable sorpresa de un mapa que incluye el Sahara Occidental y su capital El Aaiún (Laâyoune) como parte de Marruecos.

La publicación de ese mapa es muy grave, ya que el mapa que Uds. presentan es ilegal, con lo que incurren en el error de no respetar la legalidad internacional, desinforman a los visitantes y ofenden a muchas personas.

Ese mapa es ilegal, porque ni Naciones Unidas ni NINGÚN Estado han reconocido la anexión del Sahara Occidental por Marruecos. De hecho en estos momentos la ONU esta intentando llevar a cabo una ronda de negociaciones entre marroquíes y saharauis, y así terminar con el conflicto que les enfrenta desde que Marruecos ocupara ilegalmente después de que los españoles se retiraran en 1975.

Según da a entender su mapa que Marruecos llega hasta Mauritania, lo que es totalmente falso, esto demuestra un gran desconocimiento (lo que resulta increíble, teniendo en cuenta que se trata de un Mayorista de Viajes), a no ser que tengan interés por apoyar esta ocupación militar que dura ya 35 años.

Les invitamos a que corrijan, lo más pronto posible, un mapa que engaña a los visitantes y ofende a un pueblo dividido, la mitad de este viviendo en unos Campamentos de Refugiados situados en las cercanías de la ciudad Argelina de Tindouf.

Pedimos lo sustituyan por otro respetuoso con la legalidad internacional y con la realidad.

Atentamente.

Tú nombre.
 
Ciudad.
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