El-Aiun: 15/06/2010
L'administration pénitentiaire du prison locale de El Aaiu / Sahara occidental , a exercer son abus sur le prisonnier politique Sahraoui "Kamal Chiaa" (20 ans) détenue depuis le 10/12/2009 à Smara/ Sahara Occidental, et selon sa mère, Mme «Mahjouba Lbar» son fils a été soumis à l'isolement dans une petite cellule, comme il a été accordé a une exposition unique aux pires formes de torture par les gardiens de cette prison qui a duré longtemps depuis vendredi dernier jusqu’à aujourd'hui, où il a été libéré après avoir passé quatre jours, les mains menottés, où elle a été attaché à une chaise afin de le paralyser. Comme nous vous informons que certains fonctionnaires de cette prison ont profités du week-end pour attaquer le détenu, le faite qui a rendu possible aux gardiens de prison, dirigée par un certain «Lbariotte Mustafa" accompagné de plusieurs gardiens appartenant à l'administration pénitentiaire en question de le torturer
librement.
Selon la mère, son fils était en grève de la faim pour protester contre la situation désastreuse, sans mentionner la série des tortures psychologiques et physiques vécus quotidiennement, sans égard aux règles pour le traitement des détenus.
L'administration pénitentiaire du prison locale de El Aaiu / Sahara occidental , a exercer son abus sur le prisonnier politique Sahraoui "Kamal Chiaa" (20 ans) détenue depuis le 10/12/2009 à Smara/ Sahara Occidental, et selon sa mère, Mme «Mahjouba Lbar» son fils a été soumis à l'isolement dans une petite cellule, comme il a été accordé a une exposition unique aux pires formes de torture par les gardiens de cette prison qui a duré longtemps depuis vendredi dernier jusqu’à aujourd'hui, où il a été libéré après avoir passé quatre jours, les mains menottés, où elle a été attaché à une chaise afin de le paralyser. Comme nous vous informons que certains fonctionnaires de cette prison ont profités du week-end pour attaquer le détenu, le faite qui a rendu possible aux gardiens de prison, dirigée par un certain «Lbariotte Mustafa" accompagné de plusieurs gardiens appartenant à l'administration pénitentiaire en question de le torturer
librement.
Selon la mère, son fils était en grève de la faim pour protester contre la situation désastreuse, sans mentionner la série des tortures psychologiques et physiques vécus quotidiennement, sans égard aux règles pour le traitement des détenus.
Source: CODAPSO
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